Durant les dernières années de notre bac nous avons été amenés à réfléchir sur la nécessité de la rétroaction dans les apprentissages des élèves et l’important de celles-ci. De plus, en discutant avec les autres enseignantes de mon milieu de stage, j’ai compris que la rétroaction était un sujet dominant et préoccupant pour la plupart d’entre elles, et ce, particulièrement en 1re année.
Mon stage IV s'est déroulé dans une classe de maternelle 5 ans à l'école du Buisson, soit dans un milieu multiculturel. Le groupe était composé de 8 garçons et de 7 filles. La classe, étant anciennement un local de service garde, avait une superficie assez limitée, ce qui restreignait l'espace pour les activités d'enseignement-apprentissage et faisait en sorte que les élèves devaient jouer assez près les uns des autres dans les différents coins.
J’ai réalisé mon dernier stage dans une classe de 5e année à l’école de l’Étincelle à Terrebonne. Ayant une réalité différente à Montréal durant la pandémie, les élèves n’ont pas eu la chance de retourner en classe au printemps dernier. Ainsi, le retour en classe fut plus difficile pour certains. Ils ont rapidement repris la routine scolaire, mais certaines lacunes persistaient au niveau des apprentissages.
Dans le cadre de mon stage final, j’ai choisi de travailler sur la communication des évaluations aux répondants en temps de pandémie. C’est un sujet qui me tient à cœur et auquel je souhaitais mettre de l’énergie pour le bien de mes élèves.
Contexte
Mon dernier stage se déroulait dans un milieu où les élèves avaient certaines difficultés quant à la compréhension des textes lus. Cette difficulté se faisait ressentir dans leurs réponses en compréhension de lecture et même en mathématiques dans la compréhension des problèmes. Ainsi, j’ai décidé de miser sur l’apprentissage des stratégies de lecture dans le but d’améliorer cette compétence tout en mettant l’emphase sur l’élaboration et la justesse des réponses écrites.
Mise en contexte:
Cet automne, j’ai réalisé mon stage dans une classe de 3e année à l’école de L’Escalade. J’avais 20 élèves dans la classe soit 10 filles et 10 garçons. Plusieurs d’entre eux avaient des besoins particuliers dont deux élèves ayant un trouble du spectre de l’autisme, plusieurs élèves à surveiller en raison d’éventuel diagnostic de dyslexie ou de dysorthographie, deux élèves TDAH et deux élèves suivis en orthopédagogie de façon hebdomadaire.
Observations du contexte
Mon projet consistait, tout d'abord, à favoriser la motivation des élèves dans une matière qui ne stimule pas tous les élèves. L'implication presque totale des élèves m'a permis de développer une diversité de compétences. Leur autonomie a grandement été mise de l'avant dans ce projet et a ainsi sollicité l'engagement, la coopération et la motivation.