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Dès le début de mon stage en 3e année, j’ai remarqué que plusieurs élèves de ma classe n’étaient pas motivés lorsque venait le temps d’écrire. Pour un bon nombre d’élèves, leurs idées étaient limitées et peu développées et ils faisaient la tâche rapidement, ce qui donnait des résultats peu satisfaisants. En effet, leur manque d’inspiration faisait en sorte qu’ils écrivaient de courts textes, peu détaillés. Une autre lacune dans la compétence à écrire de mes élèves est qu’ils ne prenaient pas le temps de réviser sérieusement leur texte pour l’améliorer.

Lors de mon stage, j’ai rapidement constaté que mes élèves avaient peu d’intérêt pour les chiffres et le coin mathématique. Pendant la routine du matin et les jeux libres, très peu d’enfants se dirigeaient vers le coin mathématique pour faire les activités présentes. C’est pourquoi j’ai décidé de faire aimer davantage les mathématiques aux enfants de mon groupe. J’ai voulu faire émerger des concepts mathématiques appropriés au préscolaire. Pour y arriver, j’ai inclus des mathématiques dans les coins symboliques de ma classe et j’ai fait des jeux mathématiques avec mon groupe. 

Lors de mon stage final, j’ai pu observer que mes élèves avaient un certain désintérêt vers le français. En effet, la majorité de mes élèves trouvait cette matière comme étant leur moins préférée. Certains élèves aimaient la lecture, mais très peu aimaient l’écriture. De plus, les élèves avaient besoin d’apprendre plus sur l’inférence sans toutefois trouver la compréhension de texte ennuyante. C’est pourquoi j’ai créé un projet qui allait être différent de ce qu’ils font à l’habitude et qui pourrait être un défi pour les élèves forts. Nous avons entamé un projet sur la poésie.

Après avoir réalisé l’évaluation diagnostique de début d’année et l’évaluation de lecture au début du mois d’octobre, nous avons remarqué que les élèves de ma classe de 4e année ont d’importantes lacunes en lecture, notamment en contexte d’évaluation. Mon enseignant associé et moi croyions que la fluidité en lecture des élèves puisse interférer avec le traitement des informations au moment de répondre aux questions. Les élèves ont pris la mauvaise habitude de lire seulement le texte une fois et essaient de répondre par coeur pour terminer rapidement.

Mon stage a été réalisé dans un milieu considérablement défavorisé dans une classe « régulière » de 4e année. Le projet intégrateur que j’ai mis en place visait le développement social des élèves. Il s’agit d’un conseil de coopération. Ce conseil propose trois types d’interventions de base qui peuvent découler en des interactions diversifiées. Dans le cadre d’un tel conseil, les élèves pouvaient formuler des félicitations, des suggestions ou des pour parler sur le fonctionnement de classe ou soumettre un problème particulier.

Comme nous le savons, le développement de la pensée abstraite se concrétise au stade des opérations formelles de Piaget, soit au début de l’adolescence (Paplia & Feldman, 2014).  Par contre, puisque j’ai réalisé mon dernier stage dans une classe ordinaire de 3e année, mes élèves se situaient au stade des opérations concrètes. Concrètement, cela signifie que mes élèves avaient besoin d’avoir un rapport direct avec le monde tangible (celui qu’ils connaissent) afin de pouvoir raisonner de façon logique.

jan 21 2021

J’ai réalisé mon stage dans une classe de 19 élèves au préscolaire. Assez rapidement, mon enseignante associée et moi avons remarqué que ce groupe était très dynamique. Les élèves étaient bruyants et semblaient avoir de la difficulté à focaliser leur énergie dans les moments opportuns. Le volume de bruit était rapidement trop élevé ce qui semblait épuiser beaucoup d’élèves de la classe. Quelques élèves de ma classe démontraient des signes d’insécurité, de stress et d’anxiété. Les fins de journées et les fins de semaine étaient plus difficiles.

jan 21 2021

Dès le début de mon stage 4, j’ai pu observer que de nombreux élèves de ma classe de deuxième année étaient stressés ou même anxieux face au retour en classe. En effet, les mesures sanitaires en préoccupaient plus d’un que ce soit par rapport aux nouvelles routines (lavage de mains et désinfection fréquent), mais aussi aux nouvelles habitudes (bulle classe). Le fait de rester toujours avec les mêmes personnes et dans le même local affectait grandement mes élèves (comportements perturbateurs, pleurs, trop-plein d’énergie, état de panique intérieur, etc.).