Aller au contenu principal
Mots clés

Dès le début de mon stage, j’ai remarqué que la majorité des élèves de ma classe n’arrivent pas à rester assis pendant quinze minutes sans bouger, soit au tapis ou encore à leur place attitrée aux tables. Je dois donc souvent leur rappeler la bonne posture à prendre pour être en mesure de m’écouter (la position branchée). Sur le tapis, surtout lors de la causerie, les enfants gigotent, touchent les autres sans respecter leur bulle, se couchent sur le dos, frappent les autres avec leurs pieds, font du bruit avec les velcros de leurs souliers, etc.

J’ai réalisé mon stage dans une classe de première année. À ce niveau scolaire, les élèves assimilent les préalables pour apprendre à lire et à écrire, ce qui est un gros défi. Lors des périodes d’écriture plus particulièrement, j’ai remarqué que mes élèves avaient de la difficulté à être autonomes. Malgré le fait que mon enseignante associée et moi les encouragions à essayer seuls et que nous minimisions l’erreur, la plupart des élèves attendaient le soutien d’un adulte pour essayer d’étirer les mots et de trouver les sons afin d’écrire leurs idées.

jan 20 2021

J'ai effectué mon dernier stage dans une classe de 3e année à l'école Fernand-Seguin. Il s'agit d'une école à vocation scientifique où les élèves sont grandement au coeur de leurs apprentissages. Le groupe était relativement bon tant au niveau académique que comportemental. Les élèves travaillaient grandement sur leur autonomie et aimaient participer à la gestion de la classe lorsqu'il était possible de le faire. Par contre, j'ai constaté qu'une bonne majorité d'élèves étaient impulsifs.

Mon stage 4 s'est déroulé dans un milieu multiculturel, soit à l’école Notre-Dame-de-Foy dans une classe de 6e année de 12 élèves. Après quelques semaines passées dans cette dernière, j’ai pu réaliser que l’écart entre les élèves plus forts et les élèves plus faibles était assez flagrant. En discutant avec mon enseignante associée, nous étions en accord avec le fait que la plus grande difficulté de nos élèves était : l’écriture.

jan 20 2021

Mon projet s’est déroulé dans une classe de maternelle 5 ans à l’école Saint-Albert-le-Grand. Nous retrouvons sept filles et huit garçons. En effet, les élèves de ma classe de stage se démarquent par le besoin de s’exprimer et de se sentir écoutés par l’adulte. Cependant, le manque de temps m'empêchait souvent de leur accorder de l'attention individuelle.

Contexte

J’ai réalisé mon dernier mon stage dans une classe régulière de 4e année de l’École de l’Harmonie, pavillon Saint-Édouard. Il s’agit d’une école proposant un programme PEI, une concentration musique et des classes régulières. Dans ces dernières, on trouve alors une très grande proportion d’élèves peu motivés, en grande difficulté d’apprentissage ou en difficulté de comportement. 

 

jan 20 2021

J’ai réalisé mon stage dans une classe de deuxième cycle. J’avais 18 élèves et, plus précisément, j’avais 9 élèves de troisième année et 9 de quatrième année. Mon enseignante associée et moi avons constaté qu’il était difficile pour la majorité des élèves de coopérer. En effet, lorsqu’ils effectuaient des tâches en équipe, les élèves se plaignaient souvent de faire le travail seul, que leur coéquipier était trop rapide et, souvent, des élèves se plaçaient avec leur coéquipier, mais nous les voyions travailler seuls.

Mon dernier stage s'est déroulé à l'école du Harfang-des-Neiges à Stoneham dans une classe de 5e année. Dès le début de l'année, j'ai pu percevoir une certaine pauvreté dans le vocabulaire de mes élèves. En effet, leur vocabulaire était répétitif et peu évocateur dans leurs textes écrits. Il va sans dire que l'orthographe des mots était aussi problématique chez plusieurs élèves de la classe. Ainsi, j’ai pensé créer un projet qui pouvait répondre à ce besoin tout en enrichissant le vocabulaire des élèves.