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J’ai effectué mon 4e stage au sein d’une superbe classe de 5e année à l’école des Jeunes-du-Monde. Comme il s’agit d’un milieu où l’indice de défavorisation est au plus élevé, j’ai pu observer certaines lacunes au niveau des connaissances générales des élèves de ma classe de stage. Une bonne partie d’entre eux viennent d’un milieu socioéconomique faible. Les familles de ces élèves sont souvent dans le besoin et disposent de peu de ressources.

La classe dans laquelle j’ai effectué mon stage final était une classe de 5e année à l’école de la Saumonière. Dans celle-ci, il y avait 26 élèves dont deux qui avaient un trouble de comportement. C’est ce dernier point qui a attiré mon attention puisqu’un de ces deux élèves avait une grande difficulté à se mettre à la tâche. Ceci était ma problématique de départ, car environ une semaine sur deux, il lui arrivait de ne pas être motivé et de ne pas faire le travail demandé le lundi matin.

Mon dernier stage s’est déroulé à l’école l’Orée-des-Bois, qui fait partie du centre de service scolaire de la Capitale. J’ai eu la chance d’avoir des élèves intéressés et émerveillés qui ne tiennent pas en place à l’idée de commencer de nouveaux projets. Ils adoraient en apprendre plus sur ce qui les entoure et avaient très hâte d’être capables de lire et d’écrire. De plus, mon groupe en était un qui déborde d’énergie et qui avait grandement besoin de bouger. J’ai remarqué très rapidement que mes élèves avaient de la difficulté à interagir entre eux de façon harmonieuse.

À l’automne dernier, j’ai réalisé mon stage IV dans une classe de 3e année à l’école Plein-Soleil. Le contexte scolaire particulier de 2020-2021 a rapidement mis en évidence certaines problématiques. Le principe de « bulle classe » s’est avéré plus difficile pour quelques élèves ce qui entraîna des conflits entre eux. Certains avaient beaucoup de difficultés à se parler correctement, à jouer ensemble ou à faire de bons choix pour que les jeux et activités se passent bien.

jan 24 2021

Mon dernier stage s'est déroulé à l'école Charles-Bruneau, à Brossard (Rive-Sud de Montréal) dans une classe de troisième année. Dans la région du grand Montréal, les élèves n'ont pas eu la chance de retourner à l'école comme les jeunes des régions plus éloignées et donc, leur grand retour s'est fait en septembre. Ainsi, j'ai rapidement constaté des difficultés académiques, notamment en français. Il faut savoir aussi que ma classe reflétait assez bien un milieu multiculturel où les enfants parlaient souvent une autre langue à la maison.

jan 24 2021

Mon stage 4 s'est déroulé dans une classe de préscolaire 5 ans de 18 élèves allumés et intéressés. Nous faisions régulièrement des sorties en plein air, et tous les jours, à raison de deux séances de 45 minutes, nous étions en jeu libre. Lors de mes premières semaines de stage, j’ai pu observer que certains de mes élèves pouvaient avoir de la difficulté dans la gestion de leurs émotions lors de ces types de périodes. Certains élèves pouvaient ainsi se replier sur eux-mêmes, se fâcher, bouder ou pleurer de façon démesurée lors de situations de jeux.

jan 24 2021

Contexte 

J'ai effectué mon stage 4 à l’école Saint-Louis se situant dans la ville de Thetford Mines. Cette école de milieu socioéconomique moyen faible (6 sur l’échelle) regroupe environ 350 élèves provenant de milieux assez distincts. La classe de 1re année dans laquelle je me trouvais était constituée de 23 élèves (surplus d’un élève).