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J'ai réalisé mon stage 4 aux Îles-de-la-Madeleine, à l'école Centrale, dans une classe de 3e et 4e année. L'idée de mon projet m'est venu lorsque les élèves m'ont fait part de leur grand intérêt pour les animaux. 

Ce projet consistait à faire éclore des œufs de poules. Une couveuse était installée dans la classe avec des œufs à l’intérieur, et ce, durant les trois semaines nécessaires à l’éclosion de ceux-ci. À la suite de l’éclosion des poussins, ils ont vécu dans une éleveuse, qui était aussi dans la classe, pendant une semaine.

jan 25 2021

Dès le début de l'année, j'avais remarqué que mes élèves avaient de l’intérêt par rapport aux albums jeunesse, aux histoires racontées et aux anecdotes personnelles. Ils étaient toujours très emballés lorsque je leur faisais la lecture d’un album jeunesse. De plus, mes élèves aimaient partager leurs idées et ils étaient très créatifs. Par mes observations, j’ai remarqué que mes élèves avaient de la difficulté en écriture et qu’ils manquaient souvent d'idées pour réaliser les travaux d’écriture qu’ils soient simples ou plus complexes.

J’ai réalisé mon stage 4 dans une classe de deuxième année. Les élèves provenaient de milieux familiaux favorisés et ils ne présentaient pas de besoins particuliers très prononcés. En effet, les troubles de comportements et d’apprentissages n’étaient pas très marqués et le groupe fonctionnait très bien au quotidien. Les élèves cheminaient bien dans les apprentissages scolaires. Dans cet ordre d’idées, j’ai voulu imaginer un projet qui permettrait aux élèves de se dépasser et d’apprendre tout en étant motivés.

J’ai effectué mon 4e stage au sein d’une superbe classe de 5e année à l’école des Jeunes-du-Monde. Comme il s’agit d’un milieu où l’indice de défavorisation est au plus élevé, j’ai pu observer certaines lacunes au niveau des connaissances générales des élèves de ma classe de stage. Une bonne partie d’entre eux viennent d’un milieu socioéconomique faible. Les familles de ces élèves sont souvent dans le besoin et disposent de peu de ressources.

La classe dans laquelle j’ai effectué mon stage final était une classe de 5e année à l’école de la Saumonière. Dans celle-ci, il y avait 26 élèves dont deux qui avaient un trouble de comportement. C’est ce dernier point qui a attiré mon attention puisqu’un de ces deux élèves avait une grande difficulté à se mettre à la tâche. Ceci était ma problématique de départ, car environ une semaine sur deux, il lui arrivait de ne pas être motivé et de ne pas faire le travail demandé le lundi matin.

Mon dernier stage s’est déroulé à l’école l’Orée-des-Bois, qui fait partie du centre de service scolaire de la Capitale. J’ai eu la chance d’avoir des élèves intéressés et émerveillés qui ne tiennent pas en place à l’idée de commencer de nouveaux projets. Ils adoraient en apprendre plus sur ce qui les entoure et avaient très hâte d’être capables de lire et d’écrire. De plus, mon groupe en était un qui déborde d’énergie et qui avait grandement besoin de bouger. J’ai remarqué très rapidement que mes élèves avaient de la difficulté à interagir entre eux de façon harmonieuse.

À l’automne dernier, j’ai réalisé mon stage IV dans une classe de 3e année à l’école Plein-Soleil. Le contexte scolaire particulier de 2020-2021 a rapidement mis en évidence certaines problématiques. Le principe de « bulle classe » s’est avéré plus difficile pour quelques élèves ce qui entraîna des conflits entre eux. Certains avaient beaucoup de difficultés à se parler correctement, à jouer ensemble ou à faire de bons choix pour que les jeux et activités se passent bien.