Aller au contenu principal
Mots clés
jan 28 2021

Pour commencer, il est important de dire que j’ai fait mon stage en 2e année dans une classe de 24 élèves. Dès le début de l’année, mon enseignante associée et moi avions remarqué que les élèves avaient beaucoup de difficultés en lecture. En effet, ils ont manqué presque deux mois de leur première année dû à la pandémie et certains ne sont pas revenus lors du retour en mai. Tous ces événements anormaux peuvent donc avoir un lien avec leurs difficultés rencontrées. Dès la première semaine, je me suis donc mise en mode recherche pour mon plan d’intervention en contexte.

Dès le début de mon stage dans une classe de 2e année, j'ai remarqué que mes élèves aimaient beaucoup la lecture. Ceux-ci adoraient lorsque je leur lisais des histoires et étaient toujours concentrés lors des périodes de lecture personnelles. Toutefois, plusieurs élèves avaient de la difficulté en compréhension de lecture.

J’ai fait mon stage 4 dans une classe de maternelle 5 ans à l’école des Prés-Verts à Saint-Jean-sur-Richelieu, la ville d’où je viens. Il s’agit d’un milieu favorisé. J’avais 18 élèves motivés, intéressés, curieux et énergiques, sans besoins de francisation ni d’orthophonie. J’ai donc décidé de faire un projet qui aurait comme objectif de développer l’autonomie de mes élèves, car ceux-ci demandaient souvent mon aide ou mon attention lors de la gestion des conflits, l’exécution des routines et les activités plus dirigées.

J’ai réalisé mon stage 4 dans une classe de 5e année à l’école de l’Accueil à Saint-Émile. Ma classe était composée de 25 élèves, 12 garçons et 13 filles, dont une qui est arrivée au cours du mois d’octobre. Dès le début du mois de septembre, nous avons fait un projet de journal du voyageur. Chaque élève avait son petit journal dans lequel il se présentait. Avec l’aide des parents, chaque élève a envoyé son journal à la personne qu’il connaissait la plus loin dans le monde.

jan 28 2021

Les pauses actives

  • Katherine Allard

Dans ma classe de stage, j’ai remarqué que les élèves ont beaucoup de difficulté à rester assis et en silence pendant un certain temps. Même à l’heure de l’histoire, alors qu’ils viennent de terminer la détente, ils commencent à décrocher après 10 minutes. Ils ne sont alors plus en position d’écoute et sont facilement distraits. Cela fait en sorte que je choisis des histoires plus courtes, qui sont parfois moins intéressantes. Je suis dans une classe très petites, les élèves n’ont pas beaucoup d’espace pour bouger et ils font très peu de jeux libres.

jan 28 2021

Mon projet d’intervention consistait à créer une histoire avec mes élèves de manière collaborative. Le tout dans le but de développer le gout à la lecture et à l’écriture. En effet, le début de la lecture et de l’écriture représente un défi important pour mes élèves de première année. Ce projet avait donc pour objectif principal de donner le gout à la lecture et à l’écriture dans un contexte ludique d’apprentissage. Depuis le début de l’année, j'ai remarqué un fort désir de la part de mes élèves pour l'apprentissage de la lecture et de l'écriture.

J’ai eu la chance de faire mon stage 4 dans une classe de préscolaire à l’école de l’Île d’Orléans. Le groupe comptait 13 élèves provenant de divers milieux : Centre de la petite enfance (CPE), garderie en milieu familial ou même de la maison. Dès les premiers jours en classe, j’ai pu observer que les enfants avaient de la difficulté à gérer leurs émotions. Dans ma classe de stage, il y avait trois élèves en particulier qui demandaient davantage de soutien en lien avec les émotions. Les trois se retrouvaient souvent en situation de crise.