Mon dernier stage s'est déroulé à l'école Charles-Bruneau, à Brossard (Rive-Sud de Montréal) dans une classe de troisième année. Dans la région du grand Montréal, les élèves n'ont pas eu la chance de retourner à l'école comme les jeunes des régions plus éloignées et donc, leur grand retour s'est fait en septembre. Ainsi, j'ai rapidement constaté des difficultés académiques, notamment en français. Il faut savoir aussi que ma classe reflétait assez bien un milieu multiculturel où les enfants parlaient souvent une autre langue à la maison.
Mon stage 4 s'est déroulé dans une classe de préscolaire 5 ans de 18 élèves allumés et intéressés. Nous faisions régulièrement des sorties en plein air, et tous les jours, à raison de deux séances de 45 minutes, nous étions en jeu libre. Lors de mes premières semaines de stage, j’ai pu observer que certains de mes élèves pouvaient avoir de la difficulté dans la gestion de leurs émotions lors de ces types de périodes. Certains élèves pouvaient ainsi se replier sur eux-mêmes, se fâcher, bouder ou pleurer de façon démesurée lors de situations de jeux.
Contexte
J'ai effectué mon stage 4 à l’école Saint-Louis se situant dans la ville de Thetford Mines. Cette école de milieu socioéconomique moyen faible (6 sur l’échelle) regroupe environ 350 élèves provenant de milieux assez distincts. La classe de 1re année dans laquelle je me trouvais était constituée de 23 élèves (surplus d’un élève).
Le projet consistait en une présentation d’un livre que chaque élève choisissait. Ce choix de projet résidait dans le fait que les élèves de la classe n’étaient pas portés vers la lecture. La classe étant principalement composée de garçons, certains jeunes lisaient simplement parce que cela leur était demandé en classe et d’autres ne faisaient qu’observer les images de leur livre, et ce, même s’il s’agissait d’une classe de 4e, 5e et 6e années.
J’ai fait mon stage 4 en 3e année à l’école Saint-Louis-de-France 2 à Sainte-Foy, dans une classe de 25 élèves. Dès les premières semaines, mon enseignante associée et moi avons remarqué que les enfants n’étaient pas très autonomes en classe. Lorsqu’ils avaient un questionnement, ils ne prenaient pas beaucoup d’initiatives pour tenter de le régler par eux-mêmes. Ils levaient la main directement et attendaient passivement notre aide.
Contexte
J’ai réalisé mon stage 4 dans un milieu aisé, plus précisément, dans une classe de 26 élèves de 6e année du collège Bourget de Rigaud. Les élèves participaient activement aux cours et aux projets, ils posaient des questions et ils étaient actifs dans leurs apprentissages. J’irais même jusqu’à dire que plusieurs d’entre eux démontraient de l’anxiété de performance ce qui les amenait à être compétitifs.
Description du projet