Ce projet d'intervention en contexte a été développé dans le but de développer la motivation en français des élèves du troisième cycle. En effet, la motivation est primordiale dans cette matière bien souvent abstraite pour les élèves, c'est pourquoi j'ai travaillé cet aspect auprès des élèves. En partant de cet objectif, j'ai pu développer un projet qui venait rejoindre les intérêts individuels des élèves et leurs apprentissages académiques.
Contexte
La pandémie qui sévit depuis mars 2020 n’a épargné personne. La vie a été mise sur pause pendant quelques mois, privant ainsi des milliers de petits étudiants de retourner sur les bancs d’école. Résultat : l’apprentissage des élèves en a pris un coup.
Mon quatrième stage s’est déroulé dans une classe de maternelle 4 ans comportant huit élèves, soit sept filles et un garçon. Alors que mes élèves présentaient de fortes compétences sur les plans moteur, langagier et cognitif, ils éprouvaient davantage de difficulté au niveau de l’identification (et la régulation) des émotions et des habiletés sociales. En effet, l’autorégulation du comportement représentait un obstacle important pour certains d’entre eux, ce qui nuisait à l’intégration des règles de vie.
Dès le début de l’année scolaire, mon enseignante associée et moi avons remarqué un besoin chez nos élèves de deuxième année : en écriture, ils étaient faibles et démotivés. En effet, il y a des élèves pour qui la segmentation des mots dans la phrase n’était toujours pas acquise, ce qui inquiétait mon enseignante associée, qui n’avait jamais vu cela en dix-sept ans de carrière. Peut-être c’était une conséquence de la fameuse COVID-19, mais c’était à nous de trouver une solution pour répondre à ce problème.
Contexte
Mon stage s’est déroulé dans une classe de première année de vingt élèves (quatorze garçons et six filles). Parmi ceux-ci, sept élèves présentaient fréquemment des comportements perturbateurs. En consultant les fiches des élèves lors des premières journées pédagogiques, je sentais qu’il y aurait probablement un « besoin de bouger » chez la majorité d’entre eux. C’est pourquoi je pensais faire des activités qui leur permettraient de répondre à ce besoin.
J’ai réalisé mon stage final à l’école Jules-Émond dans une classe de deuxième année. Dès les premiers jours de classe, j’ai remarqué que mes élèves se décourageaient facilement devant une tâche d’écriture. Même les tâches d’écriture les plus courtes causaient beaucoup de frustration et de découragement. Les élèves disaient avoir mal à la main très rapidement et demandaient toujours : est-ce que j’ai écrit assez de mots ? De plus, les élèves disaient souvent n’avoir aucune idée et ne pas savoir quoi écrire.
J'ai réalisé mon stage final à l'école Jules-Émond dans une classe de deuxième année. Dès les premiers jours de classe, j'ai remarqué que mes élèves se décourageaient facilement devant une tâche d'écriture. Même les tâches d'écriture les plus courtes causaient beaucoup de frustration et de découragement. Les élèves disaient avoir mal à la main très rapidement et demandaient toujours : est-ce que j'ai écrit assez de mots ? De plus, les élèves disaient souvent n'avoir aucune idée et ne pas savoir quoi écrire.
Mon stage 4 se déroulait dans une petite école de Valcartier, dans une classe de 14 élèves de maternelle (5 ans) dont 10 garçons et 4 filles. J'ai rapidement remarqué que le recours à l’adulte était la solution privilégiée des enfants dans plusieurs sphères de la vie en classe.