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Éducation physique et à la santé

Pour commencer, j’ai réalisé mon stage dans une classe de 26 élèves de 6e année d’une école de Charlesbourg. Dans cette classe, j’ai rapidement pris connaissance des pistes d’action à mettre en place pour aider nos élèves ayant davantage de difficultés. Toutefois, suite à de nombreuses discussions avec mon enseignante associée, j’ai constaté que nos élèves «forts» étaient, bien malgré nous, nos élèves oubliés. Ce qui m’a d’ailleurs ébranlé a été de lire dans le texte d’une de nos élèves les phrases suivantes: «À l’école, je m’ennuie.

Dans le cadre de mon PIC, j'ai réalisé un projet visant sur l'inclusion et la neurodiversité au sein de ma classe de 4e année. Suite à mes observations, j'ai remarqué que plus de la moitié des élèves avaient un profil neuroatypique (TDAH, douance, dysgraphie, anxiété, troubles du langage). Ces besoins demandaient plusieurs interventions individualisées, comme l'utilisation d'outils technologiques ou un système de motivation personnalisé. Lorsque ces interventions étaient dirigées vers un élève seulement, je remarquais une incompréhension chez les autres.

Mon projet d'intervention en contexte vise à répondre à la question suivante : « quel est l'impact de l'éducation à l'environnement sur le développement global des enfants? » À l'aide de la littérature jeunesse, la mise en place d'ateliers sur le thème de l'environnement ainsi que l'introduction d'un bac de compost dans la classe, il a été possible de sensibiliser les enfants à l'environnement tout en développant les cinq domaines du préscolaire, soit le domaine physique et moteur, le domaine affectif, le domaine social, le domaine langagier et le domaine cognitif.

Mon projet d’intervention en contexte (PIC) reposait sur la mise en place d’un programme d’initiation à la méditation de pleine conscience chez les jeunes. Le projet comprenait plusieurs activités en lien avec le bien-être, la conscience de soi et de ses émotions. Ces activités étaient conçues pour permettre aux enfants de faire une introspection sur leur état physique ou psychologique.

J'ai choisi de travailler plus précisément la motricité globale de mes élèves à la suite d’observations réalisées par l'ergothérapeute de l'école. En effet, elle a effectué des tests diagnostiques en début d’année et cela nous a révélé que certains élèves étaient en difficulté au niveau du tonus.

Contexte: Lors des moments destinés à l’alimentation dans ma classe de maternelle 4-5 ans (collation/diner/événements spéciaux), j’ai constaté que certains élèves ne prenaient pas compte du sentiment de satiété et mangeaient toutes leurs collations dans l’avant-midi, ou demandaient des collations fournies par l’école, même s’ils avaient déjà beaucoup mangé. Cette situation est ambiguë, car nous ne sommes jamais certains si tous les enfants déjeunent le matin, ou mangent le matin.

En début de stage, j'ai ramarqué que la détente « traditionnelle », soit s'allongée au sol, n'était pas très appréciée de mes élèves. En feuilletant le nouveau programme de l'éducation préscolaire, j'ai voulu exploiter l'une des composantes de la compétence 1 : expérimenter différentes façons de se détendre. Étendu sur 4 semaines, mon projet consistait à expérimenter plusieurs manières de se détendre pour être ensuite en mesure de choisir la technique de relaxation qui nous convient le mieux.

J’ai réalisé mon stage 4 à l’école de l’Accueil à Saint-Émile dans une classe de 5e année. C’est en observant mes profils d’élèves que je me suis rendu compte que ceux-ci avaient beaucoup d’énergie et qu’ils avaient un grand besoin de bouger. C’est pourquoi mon projet d’intervention en contexte visait les saines habitudes de vie. Que ce soit par rapport à l’activité physique, à l’alimentation, mais aussi à l’estime de soi.

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