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Éducation physique et à la santé

Mon projet d’intervention en contexte (PIC) reposait sur la mise en place d’un programme d’initiation à la méditation de pleine conscience chez les jeunes. Le projet comprenait plusieurs activités en lien avec le bien-être, la conscience de soi et de ses émotions. Ces activités étaient conçues pour permettre aux enfants de faire une introspection sur leur état physique ou psychologique.

J'ai choisi de travailler plus précisément la motricité globale de mes élèves à la suite d’observations réalisées par l'ergothérapeute de l'école. En effet, elle a effectué des tests diagnostiques en début d’année et cela nous a révélé que certains élèves étaient en difficulté au niveau du tonus.

Contexte: Lors des moments destinés à l’alimentation dans ma classe de maternelle 4-5 ans (collation/diner/événements spéciaux), j’ai constaté que certains élèves ne prenaient pas compte du sentiment de satiété et mangeaient toutes leurs collations dans l’avant-midi, ou demandaient des collations fournies par l’école, même s’ils avaient déjà beaucoup mangé. Cette situation est ambiguë, car nous ne sommes jamais certains si tous les enfants déjeunent le matin, ou mangent le matin.

En début de stage, j'ai ramarqué que la détente « traditionnelle », soit s'allongée au sol, n'était pas très appréciée de mes élèves. En feuilletant le nouveau programme de l'éducation préscolaire, j'ai voulu exploiter l'une des composantes de la compétence 1 : expérimenter différentes façons de se détendre. Étendu sur 4 semaines, mon projet consistait à expérimenter plusieurs manières de se détendre pour être ensuite en mesure de choisir la technique de relaxation qui nous convient le mieux.

J’ai réalisé mon stage 4 à l’école de l’Accueil à Saint-Émile dans une classe de 5e année. C’est en observant mes profils d’élèves que je me suis rendu compte que ceux-ci avaient beaucoup d’énergie et qu’ils avaient un grand besoin de bouger. C’est pourquoi mon projet d’intervention en contexte visait les saines habitudes de vie. Que ce soit par rapport à l’activité physique, à l’alimentation, mais aussi à l’estime de soi.

J’ai réalisé mon dernier stage dans une classe de maternelle 5 ans à Saint-Georges de Beauce. Dès le début de l’année, j’ai pu constater que plusieurs élèves se fatiguaient rapidement lors des routines de motricité globale ainsi que pendant les tâches qui consistaient à colorier, tracer ou découper. Les jeux de motricité fine étaient ardus pour ces élèves, qui soupiraient et demandaient d’arrêter quand on jouait avec des pinces, des balles antistress et de la pâte à modeler.

Mon projet consistait à organiser de courtes périodes d’activité active au quotidien. J’avais remarqué que les élèves de la classe peinaient à éprouver du plaisir en classe, comte tenu de leur manque de motivation scolaire et à leurs difficultés d’apprentissage qui leur alourdissaient la tâche. En effet, certains avaient tendance à rester passifs dans leur apprentissage en classe si on ne les interpellait pas personnellement ou avec un gain.

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