Aller au contenu principal

Le projet d'intégration en contexte (PIC) que j'ai réalisé avec les 26 élèves de 5e année de ma classe de stage se situe davantage vers le développement avec ces derniers de routines qui ont permis de leur faire des pauses-cerveau afin de prendre un temps d’arrêt. Cela se faisait durant des enseignements de nouvelles matières ou simplement quand le groupe n’était plus capable de se concentrer lors de travaux, semblaient saturés d'informations ou qu’ils semblaient trop agités.

fév 04 2019

Dès le début de l’année scolaire, j’avais constaté un réel besoin au niveau de la lecture et de l’écriture dans ma classe de stage. D’abord, je m’étais davantage tournée vers l’écriture, car je jugeais que la motivation à écrire était moindre jusqu’à ce que je prenne conscience, avec l’aide de l’orthopédagogue de l’école, que le problème venait plutôt de la lecture. Comme elle m’a si bien mentionnée, tout passe par l’oral avant de faire le transfert à l’écrit.

Sujet de la séquence d'enseignement : Les inférences. J'ai fait le choix de mon PIC après avoir remarqué une activité de lecture que les élèves avaient beaucoup de difficulté à trouver des réponses qui n'étaient pas écrites textuellement. La déduction et la logique derrière l'analyse des phrases n'étant pas présentes, j'ai décidé d'investiguer dans cette direction. 

            J'ai fait mon stage dans une classe de première année à l’école des Jeunes-du-Monde.  Mes élèves aimaient apprendre à lire et à écrire, ils aimaient les mathématiques et aimaient écouter des histoires. Ils étaient intéressés par les livres. Mes élèves travaillaient très fort au début de l'année en calligraphie. Je leur apprenais à bien tracer des lettres avant de les lancer dans l’écriture libre.

fév 04 2019

Dans la classe de 2e année de l’École Au Millénaire, les élèves, en général, éprouvaient certaines difficultés en écriture. Depuis le début de l’année, avec les élèves, nous faisions de l’écriture libre trois à quatre fois par semaine. C’est-à-dire que nous utilisons la roue de l’écriture pour en faire ressortir un thème au hasard. Lorsque le thème était donné, les élèves me disaient ce qu’ils connaissaient du sujet, j’écrivais les idées au tableau et ils allaient ensuite écrire une phrase sur ce sujet.

Dans ma classe de stage, j’ai remarqué que mes élèves abandonnaient facilement et se démotivaient rapidement face à aux tâches demandées. À l’aide d’un test sur les types d’intelligence, j’ai constaté qu’aucun de mes élèves n’aimait travailler le français. De plus, j’ai constaté qu’ils étaient créatifs et qu’ils aimaient les projets artistiques. J’ai donc eu l’idée d’utiliser leur créativité artistique afin de les motiver à écrire un texte. Tout d’abord, ils devaient créer un personnage en carton.

Suite à mes observations, j’ai constaté que les élèves avaient besoin d’une « pause cerveau » en fin d’après-midi, puisque leur attention diminuait considérablement aux alentours de 15h00. En fait, la récréation de l’après-midi se terminait à 14h09 donc les élèves devaient être concentrés jusqu’à la fin des classes qui était à 15h35. Évidemment, pour des élèves de 1re année, il était difficile pour eux de rester concentré aussi longtemps, surtout en fin de journée.

S'abonner à Implication des élèves