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Dans une classe multiniveau, comment l’utilisation des jeux vidéo, tels que Minecraft Éducation, peut-elle faciliter l’enseignement à un groupe d’élèves pendant que les autres travaillent de manière autonome? Dans le cadre de mon projet d’intervention en classe, j’explore les bienfaits pédagogiques de Minecraft et son impact sur la motivation scolaire des élèves.


 

J'ai mis en place ce projet d'intervention en contexte dans ma classe de stage 4 à l'école St-Fidèle. Dans ce groupe de 3e année de 18 élèves, plusieurs enfants terminent les travaux, le plan de travail et même les exercices supplémentaires très rapidement. Ces élèves étaient alors souvent amenés à se tourner vers la lecture pour s'occuper en attendant la fin de la période (alors qu'ils ont déjà au moins une période de lecture quotidiennement).

Mon projet d’intervention visait à soutenir une élève présentant des comportements sociaux inadéquats et maladroits, qui étaient mal perçus par ses pairs depuis la maternelle. Bien que ces comportements soient restés inoffensifs, ils avaient entraîné un rejet qui nuisait à son développement social, affectif et cognitif. J'avais choisi de réenseigner explicitement les habiletés sociales à l’élève et à l’ensemble de la classe, tout en abordant les notions d’inclusion et de différence à travers des activités comme la littérature jeunesse, les causeries et les conseils de classe.

Dans le cadre de mon stage 4 effectué à l'école L'Arbrisseau, dans une classe de 1re année composée de 21 élèves, j'ai rapidement constaté que beaucoup d'entre eux privilégiaient la rapidité d'exécution plutôt que la qualité de leur travail. Ce phénomène entraînait des erreurs fréquentes, des oublis, ainsi que des productions incomplètes ou négligées. Face à ce constat, j'ai mis en place plusieurs interventions pédagogiques pour encourager l'application et le soin dans les tâches scolaires, avec pour objectif de valoriser la qualité du travail chez les élèves.

Mon projet d’intégration en contexte était pour répondre à un besoin d’autonomie qu’avaient mes élèves, notamment ceux qui terminent les tâches le plus rapidement. En effet, l’écart de temps d’exécution entre les élèves qui finissaient leurs travaux en premier et ceux qui les finissaient en dernier dans ma classe était grand et cela créait certains soucis de gestion de classe. Les élèves qui finissaient toujours le travail en premier commençaient à parler et à déranger ceux qui n’avaient pas encore terminé leur tâche puisqu’ils ne savaient pas quoi faire.

Mon projet d’intégration en contexte était pour répondre à un besoin d’autonomie qu’avaient mes élèves, notamment ceux qui terminent les tâches le plus rapidement. En effet, l’écart de temps d’exécution entre les élèves qui finissaient leurs travaux en premier et ceux qui les finissaient en dernier dans ma classe était grand et cela créait certains soucis de gestion de classe. Les élèves qui finissaient toujours le travail en premier commençaient à parler et à déranger ceux qui n’avaient pas encore terminé leur tâche puisqu’ils ne savaient pas quoi faire.

Le but de ce projet était de favoriser l'autonomie des élèves et réduire le nombre de questions inutiles (auxquelles j'ai déjà répondu) lors des périodes de travail individuel ou en équipe. Pour ce faire, j'ai mis en place un tableau interactif fonctionnant avec des lumières permettant aux élèves de prendre eux-mêmes les décisions concernant le niveaux de voix, la méthode de travail, quoi faire lorsqu'ils ont des questions et à quel endroit ils peuvent travailler. Ce projet permettait aux élèves d'être actif dans les décisions.

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