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jan 11 2022

Dans le cadre de mon projet d’intégration en contexte, j’ai mis en œuvre une séquence d’enseignement portant sur la tolérance des enfants. Je l’ai nommé : « Soyons tolérants ! ». Cette idée m’est venue à la suite des observations que j’ai faites dans mon milieu de stage. En effet, l’école dans laquelle j’enseigne se situe au Lac-Beauport, un milieu très favorisé. J’ai remarqué que les élèves, issus de ce milieu, pouvaient avoir un regard critique envers les autres et même parfois faire preuve de jugement négatif.

En observant mon contexte de classe, j’ai vu qu’une difficulté principale se situait généralement en français. Effectivement, en écriture, quelques enfants du groupe « n’avaient pas d’idées » et avaient tellement peur de faire des fautes que cela bloquait leur fluidité de rédaction. De plus, au moins le tiers du groupe écrivait syllabiquement, ce qui apportait aussi une difficulté de compréhension. C’est donc pourquoi je voulais travailler l’écriture.

Je ne vous cache rien en vous disant que la pandémie a changé beaucoup de choses dans le milieu scolaire. Pour ma part, l'accès à la bibliothèque de l'école n'était pas autorisé et vous comprendrez qu'en tant qu'amoureuse de la littérature jeunesse, mon coeur s'est brisé. Comme tout travailleur, le budget personnel de ce dernier ne devrait pas être la solution. 

jan 20 2020

J'ai fait des tours de magie mathématique devant la classe et j'ai mis les élèves en équipe de cinq afin qu’ils puissent deviner comment j’ai fait pour réussir mon tour de magie. Une fois que les élèves ont vu les sept tours de magie et qu’ils ont tous bien compris l’astuce mathématique qui se cache derrière chacun de ceux-ci, j'ai placé les élèves en équipe de trois et chacune d’elle a eu un tour de magie d’assigné. Les groupes d’élèves ont ensuite modifié la présentation du tour de magie afin d’y mettre leur couleur.

Mon projet consistait à organiser de courtes périodes d’activité active au quotidien. J’avais remarqué que les élèves de la classe peinaient à éprouver du plaisir en classe, comte tenu de leur manque de motivation scolaire et à leurs difficultés d’apprentissage qui leur alourdissaient la tâche. En effet, certains avaient tendance à rester passifs dans leur apprentissage en classe si on ne les interpellait pas personnellement ou avec un gain.

Mon stage a eu lieu dans une école très défavorisée, avec une importante présence de différentes cultures et ethnies. Les difficultés d’apprentissage y sont présentes, difficultés issues la majorité du temps par un manque de scolarité flagrant du milieu ciblé et de l’amotivation présentée par les élèves vis-à-vis le système d’éducation.

Au début du mois d’octobre, mon enseignante associée et moi avons eu la formation Actif au quotidien. Dans mon école de stage, ils prônaient beaucoup l’activité physique afin de tenir les élèves actifs durant leurs apprentissages. Au préscolaire, à l'école Le Ruisselet, les élèves ont seulement une période d’éducation physique sur un cycle de dix jours. Ils vont donc se dégourdir au gymnase une seule fois au deux semaines avec l'enseignant d'éducation physique.

Dans le cadre de mon stage IV, je tenais à instaurer une pédagogie démocratique au sein de ma classe. Pour y parvenir, j'ai décidé d'instaurer un conseil de coopération qui permettrait aux élèves de contribuer à la vie de la classe. En effet, le conseil de coopération que j'ai mis sur pied fut la base d'une grande majorité des projets effectués en classe. Je pense ici à la pièce de théâtre que nous avons présentée, à la création de courtes pièces de théâtre de marionnettes, à un concours de danse, etc.

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