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J’ai réalisé mon stage final au préscolaire à l’école Rode-des-Vents en Colombie-Britannique. Dans cette école du conseil scolaire francophone, la réalité de la langue française était bien différente de celle des écoles québécoises où j’avais effectué mes stages jusqu’à présent. Avant même d’arriver en Colombie-Britannique, je savais que mon projet d’intervention en contexte devrait avoir pour but de favoriser l’apprentissage de la langue française puisque plusieurs élèves de maternelle ne parleraient pas français en début d’année.

fév 05 2019

Suite à l’observation du contexte de ma classe, j’avais identifié un problème : la période d’étude du matin (routine de 15 minutes lors de laquelle ils devaient étudier). Ils n’appréciaient pas du tout ce moment de la journée et ils m’en faisait part régulièrement (le problème concernait l’ensemble des élèves). De plus, en les observant, j’avais remarqué que l’objectif de départ n’était pas atteint : ils n’étudiaient pas.

fév 02 2019

Mon stage se déroulait dans une classe de première année composée de 21 élèves, au Trivent 1. Dès le début de l’année où nous avions commencé l’écriture spontanée, plusieurs avaient le « syndrome de la page blanche » : ils ne savaient pas quoi écrire, même lorsqu’une image était montrée. Je voulais donc développer leur créativité ainsi que leur autonomie. D’un autre côté, j’ai quelques élèves qui écrivaient déjà de magnifiques phrases, et même des textes.

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