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Mon stage a eu lieu dans une école très défavorisée, avec une importante présence de différentes cultures et ethnies. Les difficultés d’apprentissage y sont présentes, difficultés issues la majorité du temps par un manque de scolarité flagrant du milieu ciblé et de l’amotivation présentée par les élèves vis-à-vis le système d’éducation.

jan 18 2020

Cet automne, j’ai effectué mon stage à l’école Harfang-des-neiges dans une classe de 2e année de 22 élèves. Dans cette classe, plusieurs élèves présentaient des besoins particuliers : 2 élèves avec un diagnostic du trouble du spectre de l’autisme, une élève ataxique, un élève avec une surdité, une élève avec de grande difficulté d’apprentissage et 6 élèves suivis régulièrement en orthopédagogie, autant en français qu’en mathématique.

jan 18 2020

Mon dernier stage se déroulait dans une classe de 4ème année en milieu défavorisé. L'horaire de l'école était bâtie de façon à ce que les deux premières périodes soient condensées. En après-midi, la récréation se faisait à l'arrivée des élèves et non entre les deux périodes. En d'autres mots, les élèves n'avaient pas de pause entre 8h00 et 10h18 le matin ni entre 13h22 et 15h00 l'après-midi. Avec cet horaire, il était souvent difficile pour les élèves de rester concentrés.

J’ai fait mon stage à l’automne dans une classe de 4e année à l’école l’Accueil à Saint-Émile. Ayant le souci de motiver ses élèves, l’école offre plusieurs options de classe afin d’essayer de rejoindre le plus d’enfants possible. C’est pourquoi j’enseignais dans une classe que nous appelons une classe « numérique ». Nous avions dans la classe 8 tablettes, 20 ordinateurs et plusieurs robots. Lorsque j’ai réalisé mon PIC, nous avions également un chariot de 26 Chromebook en tout temps dans la classe. Nous essayions d’offrir aux élèves une période avec du numérique par jour.

Dans le cadre de mon projet intégrateur en contexte, mon désir était d'augmenter la motivation de mes élèves à écrire et qu'ils intègrent bien le récit en trois temps. Développer leur pensée computationnelle était aussi une préoccupation pour moi. Pour ce faire, nous avons collaboré avec une classe de quatrième année. Le rôle de ce groupe, préalablement établi, était d'accompagner l'élève du premier cycle dans la rédaction de cette histoire sans sujet imposé. Des dyades ont donc été formées, composées d'un grand et d'un petit.

Au début du mois d’octobre, mon enseignante associée et moi avons eu la formation Actif au quotidien. Dans mon école de stage, ils prônaient beaucoup l’activité physique afin de tenir les élèves actifs durant leurs apprentissages. Au préscolaire, à l'école Le Ruisselet, les élèves ont seulement une période d’éducation physique sur un cycle de dix jours. Ils vont donc se dégourdir au gymnase une seule fois au deux semaines avec l'enseignant d'éducation physique.

J'ai fait mon stage à l'école du Petit-Prince à l'Ange-Gardien dans une classe de 3e année. Il y avait 21 élèves dans ma classe dont 13 garçons et 8 filles. J'ai été animateur de camp de jour pendant 8 ans au camp de jour de l'Ange-Gardien et je connaissais donc déjà quelques élèves. Pour ce qui est de la relation et des communications, j'avais un avantage puisqu'on se connaissait déjà, mais je devais aussi me départir de mon image d'animateur de camp de jour et de montrer ma facette enseignante.

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