Mon projet consistait, tout d'abord, à favoriser la motivation des élèves dans une matière qui ne stimule pas tous les élèves. L'implication presque totale des élèves m'a permis de développer une diversité de compétences. Leur autonomie a grandement été mise de l'avant dans ce projet et a ainsi sollicité l'engagement, la coopération et la motivation.
Divers moyens peuvent être mis en place dans une classe pour développer le gout à la lecture chez les élèves. Il est pertinent d'impliquer les élèves dans ce processus. Par exemple, les élèves peuvent être mobilisés pour partager leurs lectures favorites sous forme de carnets de lecture et ainsi permettre aux autres de découvrir une grande variété d’œuvres littéraires.
J’ai réalisé mon stage IV dans une classe de 1re et 2e année, à l’école de la Fourmilière du Centre de Services Scolaires des Premières Seigneuries (rang 9 SFR et 8 IMSE). Dès le début de mon stage, j’ai remarqué qu’une très grande partie des élèves de ma classe était peu ou pas du tout autonome dans la résolution de leurs conflits. Plutôt que de tenter de régler le problème par eux-mêmes en utilisant diverses stratégies, les élèves rapportaient systématiquement le malentendu à un adulte.
J'ai réalisé mon stage 4 aux Îles-de-la-Madeleine, à l'école Centrale, dans une classe de 3e et 4e année. L'idée de mon projet m'est venu lorsque les élèves m'ont fait part de leur grand intérêt pour les animaux.
Ce projet consistait à faire éclore des œufs de poules. Une couveuse était installée dans la classe avec des œufs à l’intérieur, et ce, durant les trois semaines nécessaires à l’éclosion de ceux-ci. À la suite de l’éclosion des poussins, ils ont vécu dans une éleveuse, qui était aussi dans la classe, pendant une semaine.
J’ai réalisé mon stage 4 dans une classe de deuxième année. Les élèves provenaient de milieux familiaux favorisés et ils ne présentaient pas de besoins particuliers très prononcés. En effet, les troubles de comportements et d’apprentissages n’étaient pas très marqués et le groupe fonctionnait très bien au quotidien. Les élèves cheminaient bien dans les apprentissages scolaires. Dans cet ordre d’idées, j’ai voulu imaginer un projet qui permettrait aux élèves de se dépasser et d’apprendre tout en étant motivés.
Contexte
J’ai réalisé mon stage 4 dans un milieu aisé, plus précisément, dans une classe de 26 élèves de 6e année du collège Bourget de Rigaud. Les élèves participaient activement aux cours et aux projets, ils posaient des questions et ils étaient actifs dans leurs apprentissages. J’irais même jusqu’à dire que plusieurs d’entre eux démontraient de l’anxiété de performance ce qui les amenait à être compétitifs.
J’ai eu la chance de réaliser mon stage IV à l’école Joli-Bois à St-Gabriel-de-Valcartier au cœur de la nature. J’avais une classe au 2e cycle du primaire, soit en 4e année. Dès le début de ce stage, j’ai pu faire plusieurs constats concernant les besoins de mes élèves, leurs difficultés ainsi que leurs intérêts. Il m’a été possible de remarquer des difficultés plus prononcées et un manque de motivation face à une compétence en particulier, soit celle d’écrire des textes variés dans le domaine du français (Ministère de l’Éducation du Québec, 2006).
Mon stage 4 s’est déroulé dans une classe de 5e année. Dès le début de l’année, j’ai remarqué que quelques élèves étaient moins motivés lors des cours de français. J’ai donc décidé de faire un projet afin de les motiver. Je suis partie d’un thème qui en intéressait plusieurs et qui m’intéressait également c’est-à-dire la musique pour travailler la poésie.
Les élèves de ma classe de stage m’ont fait part de leur intérêt envers la planète et les animaux dès le début de l’année lors d’une activité où ils devaient m’exposer leurs champs d’intérêt.
Mon stage 4 s'est déroulé dans un milieu multiculturel, soit à l’école Notre-Dame-de-Foy dans une classe de 6e année de 12 élèves. Après quelques semaines passées dans cette dernière, j’ai pu réaliser que l’écart entre les élèves plus forts et les élèves plus faibles était assez flagrant. En discutant avec mon enseignante associée, nous étions en accord avec le fait que la plus grande difficulté de nos élèves était : l’écriture.