Aller au contenu principal

J'ai réalisé mon stage à Victoria, en Colombie-Britannique. J'étais dans une école francophone en milieu minoritaire. Il ne s’agit pas d’une école d’immersion, mais bien d’une école francophone. L’enseignement se fait entièrement en français. Par contre, cela ne signifie pas que l’ensemble de la classe comprend le français. Plus de la moitié des élèves ne parlait pas du tout le français (parlé et compris). Les écoles du CSF (Conseil Scolaire Francophone) sont accessibles aux enfants dont les parents / grands-parents ont reçu une partie de leur éducation en français.

Dans le cadre de mon stage IV, je tenais à instaurer une pédagogie démocratique au sein de ma classe. Pour y parvenir, j'ai décidé d'instaurer un conseil de coopération qui permettrait aux élèves de contribuer à la vie de la classe. En effet, le conseil de coopération que j'ai mis sur pied fut la base d'une grande majorité des projets effectués en classe. Je pense ici à la pièce de théâtre que nous avons présentée, à la création de courtes pièces de théâtre de marionnettes, à un concours de danse, etc.

Mon stage s’est déroulé en milieu défavorisé dans une classe de 3e année à nombreux défis. Tout d’abord, dès le début de mon stage, j’ai constaté que mes élèves étaient particulièrement faibles en français et qu’ils n’appréciaient pas cette matière pour la plupart. Lorsque j’annonçais que nous allions faire du français, les élèves étaient souvent découragés, voire fermés à cette idée, et ce, surtout lorsqu’il était question de voir les notions grammaticales. Il s’agissait effectivement de leur principale difficulté, ce qui avait un impact considérable sur leur compétence en écriture.

Mon stage s'est déroulé dans une classe de 4e année d'un milieu assez défavorisé. Avant même le début du stage, j'avais exprimé à mon enseignante associée le désir d'implanter des ateliers d'écriture avec les élèves. Elle était emballée par l'idée puisque l'écriture est une importante lacune chez ses élèves depuis quelques années. Dès les premiers jours, j'ai pu constater les habiletés de mes élèves... Plusieurs refusaient d'écrire ou prenait énormément de temps à chercher comment écrire les mots. D'autres élèves écrivaient au son, omettaient les majuscules et les points, etc.

Contexte Dans le cadre de mon stage 4, j’étais stagiaire dans une classe de 24 élèves de deuxième année. Plus précisément, dans un milieu défavorisé dans le secteur de Charlesbourg. Dès les débuts, j’ai observé que les transitions entre les activités et entre les périodes étaient plutôt bruyantes et longues pour mes élèves. Par conséquent, le climat de classe ainsi que le temps d’enseignement écopaient, car certains élèves se désorganisaient plus facilement dans ces moments.

fév 06 2019

Pour mon stage, j'ai eu la chance d'être dans une classe de 2e année de 24 élèves très différents. Les habiletés des élèves à bien cohabiter avec leurs camarades n'étaient pas du tout développées. Le simple fait d'interagir avec les autres, de jouer entre eux ou encore de faire des travaux d'équipe demandait énormément de gestion et plusieurs interventions.

fév 05 2019

Suite à l’observation du contexte de ma classe, j’avais identifié un problème : la période d’étude du matin (routine de 15 minutes lors de laquelle ils devaient étudier). Ils n’appréciaient pas du tout ce moment de la journée et ils m’en faisait part régulièrement (le problème concernait l’ensemble des élèves). De plus, en les observant, j’avais remarqué que l’objectif de départ n’était pas atteint : ils n’étudiaient pas.

Sujet de la séquence d'enseignement : Les inférences. J'ai fait le choix de mon PIC après avoir remarqué une activité de lecture que les élèves avaient beaucoup de difficulté à trouver des réponses qui n'étaient pas écrites textuellement. La déduction et la logique derrière l'analyse des phrases n'étant pas présentes, j'ai décidé d'investiguer dans cette direction. 

S'abonner à Gestion participative