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Mathématiques

Par le biais de courtes capsules vidéos mises en ligne sur le site internet de la classe, l’enseignant présente certains éléments de la matière. Les élèves sont alors invités à consulter les capsules autant de fois que nécessaire. Par la suite, ils doivent expliquer ce qu’ils ont compris ou moins bien compris à l’aide d’un commentaire sur le blogue du site web de la classe. L’objectif de cette approche est de maximiser le temps de travail des élèves en présence d’un enseignant. Ainsi, tous les travaux qui auraient été faits à la maison sont alors faits lors des heures de classe.

Contexte

À l’école Notre-Dame-de-Foy, j’ai eu la chance de vivre une expérience de coenseignement et de classe inversée dans une classe de 5e et de 6e année. Cette école comporte moins de 300 élèves. Ces élèves sont, pour la très grande majorité, des immigrants de 1e ou de 2e génération. À cet effet, il y a une classe de francisation et une classe d’intégration dans cette école afin que les élèves qui viennent d’arriver intègrent rapidement le système scolaire du Québec.

Contexte de la classe

Cette vignette me permettra de faire la présentation du projet PIC que j’ai eu la chance de réaliser avec les élèves lors de mon stage 4. Les élèves de mon lieu de stage sont au 3e cycle. C’est une classe de 5e et de 6e année. Dans celle-ci, il y a un élève de 6e année qui a doublé sa 5e année. J’avais donc des élèves entre 10 et 13 ans. Plusieurs élèves semblaient éprouver des difficultés d’apprentissage. Cela semblait surtout relever d’un manque de motivation envers l’école.

fév 21 2018

Suite à mes observations du travail des élèves lors d'activités de calcul d'aire dirigées par mon enseignant associé, j'ai réalisé à quel point ceux-ci vivaient des difficultés importantes en multiplication. En effet, la plupart des élèves ne comprenaient pas ce concept et ne connaissaient aucune table de mutliplication. Il leur fallait donc compter des carrés qu'ils avaient tracés à l'intérieur des figures illustrées pour en trouver l'aire.

jan 31 2018

J’ai fait mon stage en 3e année du primaire avec des élèves qui favorisaient un bon climat d’apprentissage dans la classe étant donné leur comportement exemplaire. Toutefois, plus de la moitié des élèves étaient académiquement faibles en mathématique. J’ai donc décidé, pour mon projet d’intervention en contexte, de mettre en place des centres mathématiques afin de faire de la différenciation pédagogique selon les différents degrés de compétences des élèves.

 

L’objectif principal de mon projet était de développer leur capacité de programmation. Pour ce faire, ils devaient maitriser des notions mathématiques qui étaient indispensables pour atteindre les bonnes distances ou les directions avec leur robot. Inévitablement, ils ont dû développer leur maitrise du EV3 qui est assez complexe en raison de son immense potentiel d’actions et du logiciel d'exploitation qui lui est rattaché. D’un point de vue général, les élèves ont dû travailler leur persévérance tout au long du PIC.

Étant donné que je suis orthopédagogue, j’essaie, à travers toutes mes leçons, de transmettre des stratégies aux élèves qu’ils réutiliseront par la suite. En mathématiques, je me suis rendu compte que les enfants sont souvent pris au dépourvu lorsque vient le temps d’effectuer des situations « Résoudre ». J’aimerais que ces derniers deviennent autonomes dans la résolution de ces situations, qui ne sont pas si difficiles que cela.

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