Aller au contenu principal

Mon projet d’intégration en contexte était pour répondre à un besoin d’autonomie qu’avaient mes élèves, notamment ceux qui terminent les tâches le plus rapidement. En effet, l’écart de temps d’exécution entre les élèves qui finissaient leurs travaux en premier et ceux qui les finissaient en dernier dans ma classe était grand et cela créait certains soucis de gestion de classe. Les élèves qui finissaient toujours le travail en premier commençaient à parler et à déranger ceux qui n’avaient pas encore terminé leur tâche puisqu’ils ne savaient pas quoi faire.

Mon projet d’intégration en contexte était pour répondre à un besoin d’autonomie qu’avaient mes élèves, notamment ceux qui terminent les tâches le plus rapidement. En effet, l’écart de temps d’exécution entre les élèves qui finissaient leurs travaux en premier et ceux qui les finissaient en dernier dans ma classe était grand et cela créait certains soucis de gestion de classe. Les élèves qui finissaient toujours le travail en premier commençaient à parler et à déranger ceux qui n’avaient pas encore terminé leur tâche puisqu’ils ne savaient pas quoi faire.

Mon stage s'est déroulé en quatrième année à l’école de l’Arc-en-ciel à Loretteville. Dans la classe, il y a vingt-cinq élèves. Nous avons reçu quatre nouveaux élèves issus de l’immigration dans les dernières semaines. Certains sont allophones, d’autres sont en apprentissage du français. Les élèves de la classe sont très compréhensifs et tentent de les intégrer à la vie de classe et aux activités. Depuis le début de l’année, j’observe que les élèves aiment beaucoup les animaux, les arts plastiques, la lecture et l’écriture.

Lors de mon 4e stage, en 3e année, j’ai rapidement observé que les enfants étaient beaucoup plus motivés à faire des mathématiques et de la lecture que de l’écriture. J’ai donc pris le temps de questionner les enfants et d’en discuter avec eux. Ils m’ont rapidement fait comprendre que l’écriture leur demandait beaucoup plus de concentration et d’efforts. À partir de ces observations et ces discussions, j’ai tout de suite su que mon projet d’intervention en contexte devait porter sur l’écriture, mais plus particulièrement vers l’amour de celle-ci.

Mon projet

Durant le premier mois du stage IV, j’ai effectué des observations me permettant de remarquer certains besoins concernant mes élèves. En effet, un besoin se faisait sentir quant à la gestion des émotions et la gestion des conflits dans la classe. Le but de ce plan d’intervention en contexte était donc d’amener les élèves à comprendre les émotions qu’ils ressentaient et de savoir comment ils pouvaient les gérer adéquatement. Par exemple, est-ce que c’est acceptable de frapper un ami lorsque nous ressentons de la colère ?

jan 23 2021

Mon projet PIC visait à améliorer les relations que les élèves entretiennent entre eux afin de les rendre plus positives et agréables au quotidien. Il y a plusieurs personnalités assez fortes dans ce contexte de classe, ce qui crée un effet d’engouement. Lorsqu’un élève avertit sans cesse un ami, tous les autres élèves commencent à le faire. Cela crée un climat plutôt négatif et peu favorable aux apprentissages puisque tous les élèves sont constamment en train de se surveiller les uns les autres. Ils ont un grand besoin social de plaire aux autres.

Comme nous le savons, le développement de la pensée abstraite se concrétise au stade des opérations formelles de Piaget, soit au début de l’adolescence (Paplia & Feldman, 2014).  Par contre, puisque j’ai réalisé mon dernier stage dans une classe ordinaire de 3e année, mes élèves se situaient au stade des opérations concrètes. Concrètement, cela signifie que mes élèves avaient besoin d’avoir un rapport direct avec le monde tangible (celui qu’ils connaissent) afin de pouvoir raisonner de façon logique.

S'abonner à Matériel didactique