J'ai réalisé mon stage dans une classe de 3e année, en Gaspésie. Il est à noter que j'ai effectué ce dernier dans le cadre d'un stage à l'emploi, me permettant ainsi d'observer et de vivre les diverses problématiques en temps et lieu en tant que titulaire de classe dès le début de l'année scolaire.
J'ai réalisé mon stage 4 aux Îles-de-la-Madeleine, à l'école Centrale, dans une classe de 3e et 4e année. L'idée de mon projet m'est venu lorsque les élèves m'ont fait part de leur grand intérêt pour les animaux.
Ce projet consistait à faire éclore des œufs de poules. Une couveuse était installée dans la classe avec des œufs à l’intérieur, et ce, durant les trois semaines nécessaires à l’éclosion de ceux-ci. À la suite de l’éclosion des poussins, ils ont vécu dans une éleveuse, qui était aussi dans la classe, pendant une semaine.
Dès le début de l'année, j'avais remarqué que mes élèves avaient de l’intérêt par rapport aux albums jeunesse, aux histoires racontées et aux anecdotes personnelles. Ils étaient toujours très emballés lorsque je leur faisais la lecture d’un album jeunesse. De plus, mes élèves aimaient partager leurs idées et ils étaient très créatifs. Par mes observations, j’ai remarqué que mes élèves avaient de la difficulté en écriture et qu’ils manquaient souvent d'idées pour réaliser les travaux d’écriture qu’ils soient simples ou plus complexes.
Mon dernier stage s'est déroulé à l'école Charles-Bruneau, à Brossard (Rive-Sud de Montréal) dans une classe de troisième année. Dans la région du grand Montréal, les élèves n'ont pas eu la chance de retourner à l'école comme les jeunes des régions plus éloignées et donc, leur grand retour s'est fait en septembre. Ainsi, j'ai rapidement constaté des difficultés académiques, notamment en français. Il faut savoir aussi que ma classe reflétait assez bien un milieu multiculturel où les enfants parlaient souvent une autre langue à la maison.
Contexte
J'ai effectué mon stage 4 à l’école Saint-Louis se situant dans la ville de Thetford Mines. Cette école de milieu socioéconomique moyen faible (6 sur l’échelle) regroupe environ 350 élèves provenant de milieux assez distincts. La classe de 1re année dans laquelle je me trouvais était constituée de 23 élèves (surplus d’un élève).
Contexte
J’ai réalisé mon stage 4 dans un milieu aisé, plus précisément, dans une classe de 26 élèves de 6e année du collège Bourget de Rigaud. Les élèves participaient activement aux cours et aux projets, ils posaient des questions et ils étaient actifs dans leurs apprentissages. J’irais même jusqu’à dire que plusieurs d’entre eux démontraient de l’anxiété de performance ce qui les amenait à être compétitifs.
Mon projet PIC visait à améliorer les relations que les élèves entretiennent entre eux afin de les rendre plus positives et agréables au quotidien. Il y a plusieurs personnalités assez fortes dans ce contexte de classe, ce qui crée un effet d’engouement. Lorsqu’un élève avertit sans cesse un ami, tous les autres élèves commencent à le faire. Cela crée un climat plutôt négatif et peu favorable aux apprentissages puisque tous les élèves sont constamment en train de se surveiller les uns les autres. Ils ont un grand besoin social de plaire aux autres.
J’ai eu la chance de réaliser mon stage IV à l’école Joli-Bois à St-Gabriel-de-Valcartier au cœur de la nature. J’avais une classe au 2e cycle du primaire, soit en 4e année. Dès le début de ce stage, j’ai pu faire plusieurs constats concernant les besoins de mes élèves, leurs difficultés ainsi que leurs intérêts. Il m’a été possible de remarquer des difficultés plus prononcées et un manque de motivation face à une compétence en particulier, soit celle d’écrire des textes variés dans le domaine du français (Ministère de l’Éducation du Québec, 2006).
Mon stage 4 s’est déroulé dans une classe de 5e année. Dès le début de l’année, j’ai remarqué que quelques élèves étaient moins motivés lors des cours de français. J’ai donc décidé de faire un projet afin de les motiver. Je suis partie d’un thème qui en intéressait plusieurs et qui m’intéressait également c’est-à-dire la musique pour travailler la poésie.
Dès le début de mon stage en 3e année, j’ai remarqué que plusieurs élèves de ma classe n’étaient pas motivés lorsque venait le temps d’écrire. Pour un bon nombre d’élèves, leurs idées étaient limitées et peu développées et ils faisaient la tâche rapidement, ce qui donnait des résultats peu satisfaisants. En effet, leur manque d’inspiration faisait en sorte qu’ils écrivaient de courts textes, peu détaillés. Une autre lacune dans la compétence à écrire de mes élèves est qu’ils ne prenaient pas le temps de réviser sérieusement leur texte pour l’améliorer.