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Dans le cadre de ce projet, nous aborderons le sujet de l’eau potable à la ville de Québec (l’approvisionnement, la création et la gestion des réseaux de distribution, la pollution, la consommation, etc.). Au cours du cycle, les élèves seront amenés à se questionner sur le sujet. D’où vient l’eau potable consommée à la ville de Québec ? Avons-nous un problème d’eau potable? Quels sont ces problèmes? Que causent les problèmes identifiés? Qui sont les acteurs affectés par ces problématiques? L’eau est-elle disponible à tous de façon équitable?

Tout d’abord, je trouve pertinent de nommer le contexte dans lequel je me suis retrouvée en début d’année.

Je me retrouve titulaire de la classe. Je vis à la fois de l’excitation et de l’anxiété face à la charge de travail et aux responsabilités qui m’attendent. Je considère toutefois que j’ai les connaissances et l’expérience nécessaire pour réussir à relever ce défi.

jan 24 2021

Mon dernier stage s'est déroulé à l'école Charles-Bruneau, à Brossard (Rive-Sud de Montréal) dans une classe de troisième année. Dans la région du grand Montréal, les élèves n'ont pas eu la chance de retourner à l'école comme les jeunes des régions plus éloignées et donc, leur grand retour s'est fait en septembre. Ainsi, j'ai rapidement constaté des difficultés académiques, notamment en français. Il faut savoir aussi que ma classe reflétait assez bien un milieu multiculturel où les enfants parlaient souvent une autre langue à la maison.

J’ai réalisé mon stage dans une classe de première année. À ce niveau scolaire, les élèves assimilent les préalables pour apprendre à lire et à écrire, ce qui est un gros défi. Lors des périodes d’écriture plus particulièrement, j’ai remarqué que mes élèves avaient de la difficulté à être autonomes. Malgré le fait que mon enseignante associée et moi les encouragions à essayer seuls et que nous minimisions l’erreur, la plupart des élèves attendaient le soutien d’un adulte pour essayer d’étirer les mots et de trouver les sons afin d’écrire leurs idées.

Mon stage 4 s'est déroulé dans un milieu multiculturel, soit à l’école Notre-Dame-de-Foy dans une classe de 6e année de 12 élèves. Après quelques semaines passées dans cette dernière, j’ai pu réaliser que l’écart entre les élèves plus forts et les élèves plus faibles était assez flagrant. En discutant avec mon enseignante associée, nous étions en accord avec le fait que la plus grande difficulté de nos élèves était : l’écriture.

jan 20 2021

Mon projet s’est déroulé dans une classe de maternelle 5 ans à l’école Saint-Albert-le-Grand. Nous retrouvons sept filles et huit garçons. En effet, les élèves de ma classe de stage se démarquent par le besoin de s’exprimer et de se sentir écoutés par l’adulte. Cependant, le manque de temps m'empêchait souvent de leur accorder de l'attention individuelle.

Contexte

J’ai réalisé mon dernier mon stage dans une classe régulière de 4e année de l’École de l’Harmonie, pavillon Saint-Édouard. Il s’agit d’une école proposant un programme PEI, une concentration musique et des classes régulières. Dans ces dernières, on trouve alors une très grande proportion d’élèves peu motivés, en grande difficulté d’apprentissage ou en difficulté de comportement. 

 

Mon stage dans une école située dans un milieu défavorisé et multiculturel. En début de stage, j’ai remarqué que les élèves avaient de la difficulté à gérer leurs émotions. En effet, j’ai vu des élèves pleurer, crier, bouder, trembler, figer, frapper, etc. Ma classe est composée de 19 élèves âgés de 5 à 6 ans. C’est dans ce contexte que s’inscrit mon projet d’intervention en contexte. J’ai décidé de le réaliser sur la gestion des émotions au préscolaire. Pourquoi ? Pour le bien-être des élèves et pour favoriser un climat de classe propice aux apprentissages.

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