J’ai réalisé mon stage 4 dans une classe de 4e année à l’école Saint-Jean-Baptiste. La constitution de la classe est pratiquement la même que l’année dernière, à l’exception des nouveaux élèves. Ainsi, certaines querelles de l’an dernier sont toujours d’actualité dans ma classe cette année étant donné que la dynamique de classe est restée la même par rapport à l’an dernier.
Élaboration d'un système de collaboration en classe (mini-prof), qui prend en compte de l'hétérogénéité de la classe, pour réussir à mieux soutenir les élèves en difficulté dans leurs apprentissages et pour amener les élèves à pousser leurs apprentissages plus loin. Ce projet m'a permis d'épauler les élèves dans leur développement et dans leurs apprentissages tout en respectant le rythme d'apprentissage, les forces et les défis de chacun. (**Quelques traces**)
Pour mon PIC, j'ai choisi l'approche par projet. Le but de ce projet était de permettre aux élèves de développer leur autonomie. Je me suis inspirée de mon contexte de classe pour construire un projet qui les motiverait en me basant sur leur sentiment d'appartenance envers notre serre hydroponique et leur lien avec le groupe d'adaptation scolaire avec lequel nous partageons cette serre.
À l’automne dernier, j’ai réalisé mon stage final en 1re année. Ayant développé un fort intérêt pour le préscolaire l’année précédente, soit aussi lors de mon troisième stage, j’ai trouvé intéressant de poursuivre en 1re année cette année. Pour moi, cela était l’occasion d’effectuer une belle continuité entre mes expériences professionnelles.
Dans le cadre de mon PIC, j'ai remarqué que mes élèves démontraient un manque d'habiletés sociales lors des périodes de coopération. Plus précisément, j'ai soulevé de la difficulté à attendre son tour de parole, d'être engagé dans la tâche et à s'entraider. Également, mes élèves ne comprenaient pas leur rôle en tant que coéquipiers. Ainsi, il y avait souvent une seule personne qui travaillait et apprenait par le fait même. Il y avait de la bonne communication dans l'équipe, mais elle était surtout hors sujet.
Dans le cadre de mon PIC, j'ai réalisé un projet visant sur l'inclusion et la neurodiversité au sein de ma classe de 4e année. Suite à mes observations, j'ai remarqué que plus de la moitié des élèves avaient un profil neuroatypique (TDAH, douance, dysgraphie, anxiété, troubles du langage). Ces besoins demandaient plusieurs interventions individualisées, comme l'utilisation d'outils technologiques ou un système de motivation personnalisé. Lorsque ces interventions étaient dirigées vers un élève seulement, je remarquais une incompréhension chez les autres.
J’ai fait un stage à l’emploi dans une classe de 1re/2e année. Je me suis rendu compte assez rapidement que la majorité de mes élèves avaient des besoins particuliers. Ayant des élèves HDAA et 5 plans d’interventions (sur 11 élèves), j’ai dû intégrer la différenciation pédagogique très rapidement dans ma pratique. De plus, je remarquais que je devais répéter les consignes très souvent pour qu’elles soient comprises, et que mes élèves manquaient beaucoup d’autonomie.