Lors de mon stage 4, j’ai eu la chance de travailler avec une classe très peu nombreuse, soit une classe de 13 élèves. Toutefois, petit nombre d’élèves ne veut pas nécessairement dire classe plus facile.
Les élèves de ma classe de stage m’ont fait part de leur intérêt envers la planète et les animaux dès le début de l’année lors d’une activité où ils devaient m’exposer leurs champs d’intérêt.
Étant donné la situation actuelle, l'horaire de la classe ainsi que les périodes étaient différentes des années précédentes. Au lieu d'avoir 3 périodes le matin et 2 périodes l'après-midi, nous nous retrouvions à avoir 4 périodes le matin entre coupés avec une récréation de 20 minutes.
Le projet que j'ai réalisé avec les élèves de ma classe de stage se nomme « École- ogie ». On peut aisément comprendre que ce projet tournera autour de l’environnement et des manières de le protéger.
J'ai fait des tours de magie mathématique devant la classe et j'ai mis les élèves en équipe de cinq afin qu’ils puissent deviner comment j’ai fait pour réussir mon tour de magie. Une fois que les élèves ont vu les sept tours de magie et qu’ils ont tous bien compris l’astuce mathématique qui se cache derrière chacun de ceux-ci, j'ai placé les élèves en équipe de trois et chacune d’elle a eu un tour de magie d’assigné. Les groupes d’élèves ont ensuite modifié la présentation du tour de magie afin d’y mettre leur couleur.
J’ai effectué mon stage à l’école Fernand-Séguin. Cette école à visée scientifique souhaite développer la démarche scientifique chez les élèves. C’est pourquoi j’ai décidé de faire mon PIC en lien avec les sciences. Au cours du stage, j’ai eu la chance de participer à un projet pilote avec la commission scolaire de la Capitale et la commission scolaire des Découvreurs. Ce projet visait à faire faire plus de sciences aux élèves grâce à un laboratoire mobile présent en permanence dans la classe.
J’ai réalisé mon stage final au préscolaire à l’école Rode-des-Vents en Colombie-Britannique. Dans cette école du conseil scolaire francophone, la réalité de la langue française était bien différente de celle des écoles québécoises où j’avais effectué mes stages jusqu’à présent. Avant même d’arriver en Colombie-Britannique, je savais que mon projet d’intervention en contexte devrait avoir pour but de favoriser l’apprentissage de la langue française puisque plusieurs élèves de maternelle ne parleraient pas français en début d’année.