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Mon stage 4 s'est déroulé dans un milieu multiculturel, soit à l’école Notre-Dame-de-Foy dans une classe de 6e année de 12 élèves. Après quelques semaines passées dans cette dernière, j’ai pu réaliser que l’écart entre les élèves plus forts et les élèves plus faibles était assez flagrant. En discutant avec mon enseignante associée, nous étions en accord avec le fait que la plus grande difficulté de nos élèves était : l’écriture.

jan 19 2021

Bonjour chers collègues du BÉPEP!

Pour ma part, j'ai réalisé mon dernier stage dans une classe de 6e année. Dès le début de l'année scolaire, une baisse de motivation chez les élèves était observable lors des tâches d'écriture. J'ai donc élaboré un projet qui visait à favoriser une attitude positive face à l'écriture et donc, une plus grande motivation. 

Dès le début de l’année scolaire, mon enseignante associée et moi avons remarqué un besoin chez nos élèves de deuxième année : en écriture, ils étaient faibles et démotivés. En effet, il y a des élèves pour qui la segmentation des mots dans la phrase n’était toujours pas acquise, ce qui inquiétait mon enseignante associée, qui n’avait jamais vu cela en dix-sept ans de carrière. Peut-être c’était une conséquence de la fameuse COVID-19, mais c’était à nous de trouver une solution pour répondre à ce problème.

jan 19 2021

Les ateliers d'écriture

  • Sarah-Émilie Ferland

Au début de mon stage, j’ai constaté que les élèves n’éprouvaient pas de plaisir face à l’écriture. Le simple fait de lire « écriture » au menu du jour les faisait grimacer. Ils voyaient cela davantage comme une tâche ardue, ce qui peut être très compréhensible pour des élèves de deuxième année en plein apprentissage des sons et des lettres. Au début de l’année, j’ai fait remplir un petit questionnaire aux élèves pour connaître ce qu’ils aimaient et ce qu’ils aimaient moins sur le plan scolaire et personnel.

Commencer sa première année, c’est une étape importante pour plusieurs enfants : c’est l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, l’identification (et – surtout – la découverte) des goûts personnels ainsi que le développement de diverses habiletés motrices, cognitives et sociales. 

En observant mon contexte de classe, j’ai vu qu’une difficulté principale se situait généralement en français. Effectivement, en écriture, quelques enfants du groupe « n’avaient pas d’idées » et avaient tellement peur de faire des fautes que cela bloquait leur fluidité de rédaction. De plus, au moins le tiers du groupe écrivait syllabiquement, ce qui apportait aussi une difficulté de compréhension. C’est donc pourquoi je voulais travailler l’écriture.

jan 21 2020

Dans le cadre du stage 4 en enseignement primaire, j'ai réalisé mon PIC en tenant compte des besoins des élèves, de l’école et de mon enseignante associée. Pour ce faire, j’ai observé pendant plusieurs semaines le contexte dans lequel j'étais. J'ai réalisé mon stage au 2e cycle dans une classe de 3e et 4e année. Il y avait 12 élèves de 4e année et 11 élèves de 3e année. Les élèves dans cette classe ont été choisis puisqu’ils sont autonomes et ne présentent pas de problème de comportement.

jan 20 2020

Après quelques semaines passées dans ma classe de cinquième année, j’ai pu faire différents constats en lien avec les élèves, le contexte dans lequel ils se retrouvaient, leurs besoins et leurs difficultés communes quant à certains domaines d’apprentissage en particulier. À la suite de ces observations et pour la majorité du groupe, j’ai pu observer une difficulté liée à une des compétences qu’on peut retrouver dans le programme de formation de l’école québécoise, soit celle d’« Écrire des textes variés ».

jan 19 2020

Contexte

Mon stage s'est déroulé dans une classe de première année à l'école Mgr Fortier. Il y avait 22 élèves dans la classe soit 10 filles et 12 garçons. Ils avaient 7 périodes de conscience phonologique sur un cycle de 9 jours. Le niveau du groupe était assez élevé. Toutefois, un élève avait beaucoup de retard au niveau de ses apprentissages. Au début de l'année, il ne connaissait que 4 lettres de l'alphabet et n'était pas capable de reconnaitre son nom.

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