Aller au contenu principal
jan 27 2022

Lors de mon stage 4, j'ai eu la chance et le défi d'être dans une classe multi-niveau de première et deuxième année. La majorité des élèves sont autonomes et apprennent relativement vite. J'avais 12 élèves de deuxième et 7 élèves de première année. Malgré le fait qu'ils aient majoritairement de très bons résultats scolaires, depuis le début de l’année scolaire, j'ai remarqué que plusieurs n’aimaient pas l’écriture.

Lors de mon 4e stage, en 3e année, j’ai rapidement observé que les enfants étaient beaucoup plus motivés à faire des mathématiques et de la lecture que de l’écriture. J’ai donc pris le temps de questionner les enfants et d’en discuter avec eux. Ils m’ont rapidement fait comprendre que l’écriture leur demandait beaucoup plus de concentration et d’efforts. À partir de ces observations et ces discussions, j’ai tout de suite su que mon projet d’intervention en contexte devait porter sur l’écriture, mais plus particulièrement vers l’amour de celle-ci.

Mon projet

Dans le cadre de mon stage 4 à l’école du Harfang-des-Neiges en 2e année, mon enseignante-associée et moi avons remarqué que les élèves éprouvaient beaucoup plus de facilité à réaliser des tâches liées au domaine des mathématiques plutôt qu’au domaine du français. Dans la classe, plusieurs élèves avaient des troubles de langage. L’accès lexical était donc beaucoup plus difficile pour ces derniers. Les tâches de français semblaient peu motivantes et paraissaient insurmontables pour plusieurs élèves.

jan 27 2021

        Cet automne, j’ai réalisé mon stage dans une classe de 3e année à l’école de L’Escalade. J’avais 20 élèves dans la classe soit 10 filles et 10 garçons. Plusieurs d’entre eux avaient des besoins particuliers dont deux élèves ayant un trouble du spectre de l’autisme, plusieurs élèves à surveiller en raison d’éventuel diagnostic de dyslexie ou de dysorthographie, deux élèves TDAH et deux élèves suivis en orthopédagogie de façon hebdomadaire.

J’ai réalisé mon stage dans une classe de première année. À ce niveau scolaire, les élèves assimilent les préalables pour apprendre à lire et à écrire, ce qui est un gros défi. Lors des périodes d’écriture plus particulièrement, j’ai remarqué que mes élèves avaient de la difficulté à être autonomes. Malgré le fait que mon enseignante associée et moi les encouragions à essayer seuls et que nous minimisions l’erreur, la plupart des élèves attendaient le soutien d’un adulte pour essayer d’étirer les mots et de trouver les sons afin d’écrire leurs idées.

Dès le début de l’année scolaire, mon enseignante associée et moi avons remarqué un besoin chez nos élèves de deuxième année : en écriture, ils étaient faibles et démotivés. En effet, il y a des élèves pour qui la segmentation des mots dans la phrase n’était toujours pas acquise, ce qui inquiétait mon enseignante associée, qui n’avait jamais vu cela en dix-sept ans de carrière. Peut-être c’était une conséquence de la fameuse COVID-19, mais c’était à nous de trouver une solution pour répondre à ce problème.

Mon stage s'est déroulé en deuxième année dans la région de Charlevoix, plus précisément à Notre-Dame-des-Monts un village situé dans l'Arrière-Pays charlevoisien. Dès le début de l'année, mon enseignante associée et moi avons constaté que les élèves étaient en grande difficulté au niveau de l'écriture. Pour mes élèves, écrire une phrase correspondait à un grand effort. Il y avait beaucoup de démotivation, des mots non acquis, de la difficulté à tracer les lettres en écriture cursive, etc. C'est à ce moment que nous avons observé les effets de la pandémie sur nos élèves.

S'abonner à Écriture collective