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jan 12 2022

Dans la classe de 1ère année où j’ai fait mon stage, le vivre ensemble était difficile. Les élèves n’étaient pas tolérants les uns envers les autres. Ils se plaignaient souvent du comportement des uns et des autres. Cela les affectait dans leur humeur et il y avait des répercussions sur leur disponibilité aux différents apprentissages. Également, plusieurs élèves faisaient des commentaires sporadiques durant les temps d’enseignement ou donnaient les réponses aux mauvais moments. Cela avait également des répercussions sur le climat d’apprentissage.

Dans ma classe de stage, j’avais 10 plans d’interventions. Plusieurs d’entre eux avaient des objectifs en lien avec le comportement (attitude face au travail, gestion des émotions, relations harmonieuses avec les autres, etc.) et certains eurent des objectifs en lien avec les apprentissages. Dès le début de mon stage, j’ai observé que les élèves étaient peu motivés et adoptaient une attitude très négative face au travail.

jan 11 2022

Dans le cadre de mon projet d’intégration en contexte, j’ai mis en œuvre une séquence d’enseignement portant sur la tolérance des enfants. Je l’ai nommé : « Soyons tolérants ! ». Cette idée m’est venue à la suite des observations que j’ai faites dans mon milieu de stage. En effet, l’école dans laquelle j’enseigne se situe au Lac-Beauport, un milieu très favorisé. J’ai remarqué que les élèves, issus de ce milieu, pouvaient avoir un regard critique envers les autres et même parfois faire preuve de jugement négatif.

Mise en contexte :

Dans le cadre de mon parcours universitaire, j’ai eu la chance de faire un stage en Belgique dans une école qui offrait des formations en enseignement « Outdoor » aux étudiants belges. Ce stage ayant duré deux semaines, j’ai pu observer un avancement à plusieurs niveaux chez les enfants de maternelle en ce qui concerne l’autonomie, la motricité (globale et fine), la gestion des émotions, la conscience de la sécurité, la débrouillardise, l’imagination, etc. 

Tout d’abord, je trouve pertinent de nommer le contexte dans lequel je me suis retrouvée en début d’année.

Je me retrouve titulaire de la classe. Je vis à la fois de l’excitation et de l’anxiété face à la charge de travail et aux responsabilités qui m’attendent. Je considère toutefois que j’ai les connaissances et l’expérience nécessaire pour réussir à relever ce défi.

Contexte

Cet automne, j’ai réalisé mon dernier stage à l’école l’Arbrisseau (Centre de services scolaire des Découvreurs) à Cap-Rouge, dans une classe de 2e année au 1er cycle composée de 21 élèves. Lors des premières semaines de prise en charge, j’ai pu dresser un portrait de classe particulièrement hétérogène (voir « Portrait de classe », au besoin). Je devais composer avec différents aspects qui rendaient notre réalité de classe unique en son genre. Plusieurs besoins se faisaient sentir.

J’ai eu la chance de faire mon stage 4 dans une classe de préscolaire à l’école de l’Île d’Orléans. Le groupe comptait 13 élèves provenant de divers milieux : Centre de la petite enfance (CPE), garderie en milieu familial ou même de la maison. Dès les premiers jours en classe, j’ai pu observer que les enfants avaient de la difficulté à gérer leurs émotions. Dans ma classe de stage, il y avait trois élèves en particulier qui demandaient davantage de soutien en lien avec les émotions. Les trois se retrouvaient souvent en situation de crise.

Dans ma classe de stage (6e année), il y avait beaucoup de conflits entre les élèves. Certains « populaires » avaient de la difficulté à s'ouvrir aux autres qui ne font pas partie de la « gang », tandis que ces derniers avaient énormément de difficulté à se faire inclure et accepter par les autres. Mon PIC a été monté en ce sens : le développement des habiletés sociales (vivre ensemble). J'ai donc monté un projet en Univers Social de plusieurs étapes où les élèves devaient travailler en coopération.

         À la lumière des caractéristiques de mes élèves, j'ai décidé de cibler le volet émotion pour mon projet d'intervention en contexte. Dès le début de l'année, j'ai remarqué chez la plupart de mes élèves de première année des difficultés considérables liées à la gestion et à l'identification des émotions. Ce manque se faisait sentir particulièrement lors des récréations, des dîners ou simplement lors des transitions.

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