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Mon dernier stage s’est déroulé à l’école l’Orée-des-Bois, qui fait partie du centre de service scolaire de la Capitale. J’ai eu la chance d’avoir des élèves intéressés et émerveillés qui ne tiennent pas en place à l’idée de commencer de nouveaux projets. Ils adoraient en apprendre plus sur ce qui les entoure et avaient très hâte d’être capables de lire et d’écrire. De plus, mon groupe en était un qui déborde d’énergie et qui avait grandement besoin de bouger. J’ai remarqué très rapidement que mes élèves avaient de la difficulté à interagir entre eux de façon harmonieuse.

jan 21 2021

J’ai réalisé mon stage dans une classe de 19 élèves au préscolaire. Assez rapidement, mon enseignante associée et moi avons remarqué que ce groupe était très dynamique. Les élèves étaient bruyants et semblaient avoir de la difficulté à focaliser leur énergie dans les moments opportuns. Le volume de bruit était rapidement trop élevé ce qui semblait épuiser beaucoup d’élèves de la classe. Quelques élèves de ma classe démontraient des signes d’insécurité, de stress et d’anxiété. Les fins de journées et les fins de semaine étaient plus difficiles.

jan 20 2021

J'ai effectué mon dernier stage dans une classe de 3e année à l'école Fernand-Seguin. Il s'agit d'une école à vocation scientifique où les élèves sont grandement au coeur de leurs apprentissages. Le groupe était relativement bon tant au niveau académique que comportemental. Les élèves travaillaient grandement sur leur autonomie et aimaient participer à la gestion de la classe lorsqu'il était possible de le faire. Par contre, j'ai constaté qu'une bonne majorité d'élèves étaient impulsifs.

jan 19 2021

Mon stage s’est déroulé dans une classe de première année de vingt élèves (quatorze garçons et six filles). Parmi ceux-ci, sept élèves présentaient fréquemment des comportements perturbateurs. En consultant les fiches des élèves lors des premières journées pédagogiques, je sentais qu’il y aurait probablement un « besoin de bouger » chez la majorité d’entre eux. C’est pourquoi je pensais faire des activités qui leur permettraient de répondre à ce besoin.

L’automne dernier, j’ai réalisé mon stage dans une classe de première année. Dès le début de mon stage, mon enseignante associée et moi avons constaté que les élèves vivaient constamment des conflits et qu’ils n’étaient pas en mesure de les régler. Cela avait pour effet de perturber les activités de la classe notamment puisque nous perdions beaucoup de temps à régler des conflits lors des entrées en classe, mais aussi puisque les élèves n’étaient pas en mesure de collaborer pour réaliser des tâches.

Mon stage dans une école située dans un milieu défavorisé et multiculturel. En début de stage, j’ai remarqué que les élèves avaient de la difficulté à gérer leurs émotions. En effet, j’ai vu des élèves pleurer, crier, bouder, trembler, figer, frapper, etc. Ma classe est composée de 19 élèves âgés de 5 à 6 ans. C’est dans ce contexte que s’inscrit mon projet d’intervention en contexte. J’ai décidé de le réaliser sur la gestion des émotions au préscolaire. Pourquoi ? Pour le bien-être des élèves et pour favoriser un climat de classe propice aux apprentissages.

Mon stage a eu lieu dans une école très défavorisée, avec une importante présence de différentes cultures et ethnies. Les difficultés d’apprentissage y sont présentes, difficultés issues la majorité du temps par un manque de scolarité flagrant du milieu ciblé et de l’amotivation présentée par les élèves vis-à-vis le système d’éducation.

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