Mon projet d’intervention en contexte portait sur un projet classe d’une pause active. Mon stage final s’est déroulé dans un milieu scolaire à indice moyen de la ville de Québec. J’ai eu la chance de réaliser mon stage dans une classe de 1re année avec seulement 13 élèves, celle-ci était composée de 6 garçons et 7 filles.
Au fil des premiers mois de stage, j’ai remarqué que mes élèves avaient un grand intérêt pour la lecture. En effet, ils adorent lire et aiment particulièrement les moments de lecture en grand groupe. En classe, le climat est très sécurisant et accueillant. Toutefois, malgré les routines et les règles mises en place, j’ai pu observer que plusieurs élèves dans ma classe étaient impulsifs, ce qui entraînait des conflits et des gestes de violence lors des récréations.
Mon projet PIC consistait à fabriquer des cartes de Noël pour les personnes âgées qui habitent dans une résidence pour aînés. Les élèves devaient fabriquer une carte et écrire un petit texte à l’intérieur de celle-ci. Pour créer la carte, nous avons pratiqué nos techniques de découpage et de collage en plus d’utiliser de la peinture à l’eau et de la gouache. Comme j’ai réalisé pour stage final en première année je ne pouvais pas demander aux élèves d’écrire seul le texte.
Dans la classe de 1ère année où j’ai fait mon stage, le vivre ensemble était difficile. Les élèves n’étaient pas tolérants les uns envers les autres. Ils se plaignaient souvent du comportement des uns et des autres. Cela les affectait dans leur humeur et il y avait des répercussions sur leur disponibilité aux différents apprentissages. Également, plusieurs élèves faisaient des commentaires sporadiques durant les temps d’enseignement ou donnaient les réponses aux mauvais moments. Cela avait également des répercussions sur le climat d’apprentissage.
À la base, je voulais amener les élèves à développer leur processus d'écriture en les impliquant dans le processus de rétroactions. J'avais plusieurs idées visant à amener les élèves à se donner des rétroactions entre eux et à évaluer leur progression personnelle. Toutefois, je me suis vite rendu compte que ce n'était pas réaliste de faire tout cela en seulement trois semaines, avec des élèves de première année.
Dans le cadre de mon stage 4 en première année, j'ai soulevé dès les premiers jours d'école certains besoins chez mes élèves. Dans un premier lieu, le besoin d'apprendre à connaitre les autres membres de la classe. En effet, il était très courant qu'un élève vienne me voir pour me parler d'un enfant de la classe sans savoir son nom. Également, le besoin de développer leurs habiletés sociales était marquant.
Dans le cadre de mon projet d’intégration en contexte, j’ai mis en œuvre une séquence d’enseignement portant sur la tolérance des enfants. Je l’ai nommé : « Soyons tolérants ! ». Cette idée m’est venue à la suite des observations que j’ai faites dans mon milieu de stage. En effet, l’école dans laquelle j’enseigne se situe au Lac-Beauport, un milieu très favorisé. J’ai remarqué que les élèves, issus de ce milieu, pouvaient avoir un regard critique envers les autres et même parfois faire preuve de jugement négatif.
Durant mon stage 4 en première année, j'ai remarqué que les élèves avaient de la difficulté à reconnaitre les mots globaux étudiés en classe et à la maison. Cela rendait l'apprentissage de la lecture beaucoup plus complexe, car plusieurs élèves se trouvaient en surcharge lors des ateliers de lecture. J'ai donc décidé d'axer mon projet d'intervention en contexte sur la lecture et plus précisément sur certains mots essentiels à reconnaitre rapidement en première année (ex: est, et, je suis, dans).
Dans le cadre de ce projet, nous aborderons le sujet de l’eau potable à la ville de Québec (l’approvisionnement, la création et la gestion des réseaux de distribution, la pollution, la consommation, etc.). Au cours du cycle, les élèves seront amenés à se questionner sur le sujet. D’où vient l’eau potable consommée à la ville de Québec ? Avons-nous un problème d’eau potable? Quels sont ces problèmes? Que causent les problèmes identifiés? Qui sont les acteurs affectés par ces problématiques? L’eau est-elle disponible à tous de façon équitable?
Lors de mon stage 4 au préscolaire, j’ai rapidement observé que l’autonomie, notamment dans la gestion des émotions, était un défi pour plusieurs élèves. Cette observation m’a permis de remarquer que ce défi avait un impact majeur sur le climat de classe. D’abord, j’hésitais entre faire un projet en lien avec l’autonomie ou en lien avec la gestion des émotions.