Contexte : Dans le contexte de mon stage, je suis dans une classe de 6e année comportant 14 élèves. Il s’agit d’un milieu assez défavorisé, soit l’école Saint-Geneviève. Pour la première fois depuis plusieurs années cette année, la direction a pris la décision de former deux classes de 6e année. Les enseignantes de 5e et 6e année ont donc pris la décision de diviser les élèves selon leurs forces et faiblesses. Les élèves étaient classés selon s’ils étaient « forts » de manière générale à l’école ou plus « faibles » dans plusieurs matières.
Contexte : Après quelques semaines passées en classe, il est devenu possible de faire différents constats en lien avec les élèves, le contexte dans lequel ils se retrouvaient, leurs besoins et leurs difficultés communes quant à certains domaines d’apprentissage en particulier. D’abord, pour la majorité du groupe-classe, on pouvait observer une difficulté qui, elle, était liée à l’une des compétences transversales qu’on peut retrouver dans le PFÉQ, soit celle de « se donner des méthodes de travail efficaces ».
Notre stage s’est déroulé dans une école internationale dans un contexte particulier. En effet, nous étions en 6e année dans une classe flexible de 52 élèves en co-enseignement. Dans l’école, il n’y a pas de technicien en éducation spécialisé (TES) ni d’orthopédagogue étant donné qu’il y a peu d’élèves présentant des troubles d’apprentissage et/ou de comportement.
Description du projet
J’ai effectué mon stage 4 dans une école francophone de la Colombie-Britannique, à Victoria. Dans ma classe de stage de 6eannée, seulement quelques élèves continuaient à parler la langue française à la maison, ce qui causait un certain retard. Mon enseignante associée, qui a fait une maîtrise au sujet de l’apprentissage de la langue française, explique que les élèves doivent continuer à parler cette langue d’apprentissage dans leur milieu familial s’ils veulent progresser.
Contexte : En observant attentivement les difficultés récurrentes de mon groupe dans diverses activités, je me suis aperçue que la lecture était davantage problématique. Effectivement, pendant le « TOP 5 », les élèves avaient besoin de beaucoup plus de soutien dans le bloc « trousse de lecture », qui consistait à lire un texte et répondre à des questions de compréhension et d’inférence.
Pour mon projet, je suis partie des intérêts des élèves pour le créer. Pour vous mettre en contexte, les élèves de mon stage adorent qu’on leur raconte des histoires et ils adorent en lire, c’est un beau moment pour eux dans la journée. Alors, à partir de ces observations, j’ai décidé de leur présenter un conte et de leur faire faire l'analyse. Cela m'a permis de parler avec eux d'un autre genre littéraire. Le conte que j’ai choisi est Le Petit Chaperon Rouge.
Les élèves ont fait un journal.
Les élèves ont fait un journal.
Mon projet d’intervention en contexte avait pour objectif d’enrichir le vocabulaire des élèves en tâche d’écriture. En lisant quelques textes des enfants, je suis arrivée à la conclusion qu’ils avaient un lexique peu varié et précis. J’ai réalisé avec eux plusieurs activités afin qu’ils s’améliorent auprès des 24 élèves de ma classe de stage en 4e et 5e année. J’ai travaillé cette problématique autour d’une thématique soit le récit policier.