J'ai fait mon stage 4 à l'emploi en 4e année, avec 21 élèves + 1 nouvel arrivant en novembre. Je suis encore titulaire de cette classe à ce jour, ce pour quoi j'ai pu me permettre d'étaler l'échéancier de mon projet d'intervention en contexte sur une plus longue durée. Je continue donc de mettre en place mon projet et je constate l'évolution de mes élèves de jour en jour.
Mise en contexte et problématisation :
Lors de mon stage 4 dans une classe de troisième année, j’ai constaté que plusieurs élèves éprouvaient des difficultés à répondre à des questions de réaction. En ce sens, leurs réponses étaient souvent peu développées. De plus, ils avaient du mal à établir un lien significatif entre leur propre expérience et le texte.
Interventions mises en place :
Les élèves de ma classe de stage, plus de la majorité, terminent rapidement le travail demandé et ne se révisent pas. Ils se dépêchent de compléter les questions et dans leur hâte, ils oublient des consignes, ce qui a un impact direct sur leurs résultats qui ne reflètent pas leur réelle compréhension ou maîtrise des notions. Ils ne prennent pas le temps de s’arrêter, de bien lire les consignes et même d’écrire leur nom sur leur copie. Ils ne se révisent pas non plus ou le font à la hâte parce qu’on leur a demandé, se contentant de survoler la copie avant de la remettre.
Contexte
Voici les différents besoins qui ont orienté davantage l’élaboration de mon projet d’intervention en contexte (PIC) :
-Mes élèves avaient besoin de savoir et de comprendre l’intention d’apprentissage avant le début de l’enseignement (« quel est l’objectif ? » « Pourquoi fait-on ça ? »).
Mon projet d’intégration en contexte était pour répondre à un besoin d’autonomie qu’avaient mes élèves, notamment ceux qui terminent les tâches le plus rapidement. En effet, l’écart de temps d’exécution entre les élèves qui finissaient leurs travaux en premier et ceux qui les finissaient en dernier dans ma classe était grand et cela créait certains soucis de gestion de classe. Les élèves qui finissaient toujours le travail en premier commençaient à parler et à déranger ceux qui n’avaient pas encore terminé leur tâche puisqu’ils ne savaient pas quoi faire.
Mon projet d’intégration en contexte était pour répondre à un besoin d’autonomie qu’avaient mes élèves, notamment ceux qui terminent les tâches le plus rapidement. En effet, l’écart de temps d’exécution entre les élèves qui finissaient leurs travaux en premier et ceux qui les finissaient en dernier dans ma classe était grand et cela créait certains soucis de gestion de classe. Les élèves qui finissaient toujours le travail en premier commençaient à parler et à déranger ceux qui n’avaient pas encore terminé leur tâche puisqu’ils ne savaient pas quoi faire.
Lors de mon stage 4, j'ai eu la chance d'être en situation d’emploi (dans une classe de 3e année au primaire), composée d'élèves âgés de 8 à 9 ans (10 garçons et 6 filles). J'ai même pu avoir le poste jusqu'en fin d'année grâce à mon autorisation provisoire d'enseigner.
Lors de mon stage 4, j'ai été confronté à une classe de 3ᵉ année du primaire présentant des défis par rapport à leur autonomie. Cette autonomie était nécessaire en raison des routines d'apprentissage, de la structure des évaluations et de l'organisation de la classe en classe flexible.Au sein de la classe, les examens étaient toujours corrigés en présence des élèves, cette formule laissant beaucoup de travail autonome aux élèves. Lorsqu'ils avaient terminé un travail, la plupart des élèves avaient besoin de l'enseignante pour savoir quoi faire.
La problématique de ma classe était le fait que mes élèves parlaient beaucoup entre eux et beaucoup sans lever la main. De plus, les élèves avaient un ton de voix assez fort, lors des travaux d'équipe, ils n'étaient pas capables de chuchoter.