Mon projet d'intervention en contexte avait pour objectif de favoriser l’autonomie et l’autorégulation des comportements en classe. La problématique rencontrée était les difficultés d'autorégulation chez certains élèves, entraînant des comportements perturbateurs en classe et impactant leur apprentissage et parfois celui de leurs pairs.
Dans ma classe de stage, j’ai observé qu’un élève cherchait souvent à attirer mon attention en adoptant des comportements inappropriés. Afin de l’aider à mieux gérer ses actions et à développer ses habiletés sociales, j’ai mis en place un système d’émulation basé sur un code de couleurs. À chaque période, une couleur (vert, jaune ou rouge) était attribuée en fonction du nombre d’avertissements reçus. Ce système visait à encourager des comportements plus positifs, tout en renforçant ses interactions avec les autres.
Le but de ce projet était de favoriser l'autonomie des élèves et réduire le nombre de questions inutiles (auxquelles j'ai déjà répondu) lors des périodes de travail individuel ou en équipe. Pour ce faire, j'ai mis en place un tableau interactif fonctionnant avec des lumières permettant aux élèves de prendre eux-mêmes les décisions concernant le niveaux de voix, la méthode de travail, quoi faire lorsqu'ils ont des questions et à quel endroit ils peuvent travailler. Ce projet permettait aux élèves d'être actif dans les décisions.
Mon dernier stage s'est déroulé dans une école ayant le programme primaire. Il s'agit donc d'une école qui sélectionne les élèves.
Mon projet d’intervention en contexte avait pour objectif de favoriser les attitudes et habiletés de coopération en classe dans l’ensemble des activités réalisées en dyades ou en sous-groupes. Plusieurs faits observables témoignaient de cette problématique : travail en parallèle plutôt que dans l’optique d’un but commun ; désaccords et difficultés à faire des compromis ; élèves centrés vers leurs propres intérêts ; voix fortes et conversations non centrées sur la tâche ; etc.
Contexte :
Mon dernier stage a été réalisé dans une classe de 24 élèves de 4e année, dont la majorité était des garçons.
J’ai fait mon stage dans un milieu socioéconomique défavorisé, dans une classe de quatrième année. Dans la classe, 9 élèves sur 19 ont un plan d’intervention, ce qui est près de la moitié d’entre eux. Chaque élève possède un portrait différent, chacun ayant ses propres forces et ses propres défis. L’autre moitié de la classe est plutôt composée d’élèves qui ont une certaine facilité et qui progressent rapidement dans leurs apprentissages, et ce, dans toutes les matières.
Contexte:
Mon stage 4 s’est déroulé à l’école Anne-Hébert, dans une classe de 4e année. Les élèves de ma classe provenaient de milieux socioéconomiques divers et apprenaient à des rythmes très différents. La différenciation pédagogique était donc un élément clé dans mes enseignements.