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fév 03 2019

Le Japon

  • Marion Granger

Dans un premier temps nous avons cherché où se trouvait le Japon sur une carte. Nous avons discuté (sous forme de tempête d'idées) de ce que nous savions sur ce pays.

Ensuite, j'ai l'aissé les élèves avec des petites vignettes comportant l'alphabet japonais (hiraganas) et leur lecture placée sur chaque vignette afin que les élèves essaient d'écrire leur prénom par eux-même (ceci avait pour but de les intéresser au projet mais également de les initier à la façon de penser des japonais, l'écriture étant intimement liée à leur culture cela pouvait les aider par la suite).

Mon projet d’intervention en contexte (PIC) visait le développement de l’autonomie chez des élèves évoluant dans une classe multiniveau. En effet, j’effectuais mon stage dans une classe de première et de deuxième année. Les élèves qui constituaient ma classe de stage ont été choisis comme étant des élèves forts au niveau académique et autonomes. Toutefois, le contexte de double niveau a tout de même engendré le problème de l’autonomie, puisque les élèves devaient à l’occasion travailler de manière autonome pendant certaines périodes pour que je puisse me concentrer sur l’autre niveau.

Mon école de stage est située dans un petit village et elle est entourée de nature. Les parents sont très présents et impliqués dans les diverses activités au quotidien. C’est une école alternative qui met de l’avant l’enseignement en nature, l’écoresponsabilité, l’intégration des TIC, l’importance de la communauté, le travail d’équipe en multiniveau ainsi que la liberté et l’autonomie des élèves. J’ai observé que les élèves étaient très intéressés et motivés par les activités d’apprentissages.

fév 01 2019

Mon projet s'est déroulé dans une classe de 2e année dans un milieu défavorisé, à Beauport . La classe se compose de 19 élèves, parmi laquelle plusieurs ont des difficultés d'apprentissage en écriture . Ce projet avait pour but d’augmenter la motivation des élèves pour l’écriture. Pour ce faire, les élèves ont été amenés à écrire leur propre histoire, mettant en scène la mascotte de la classe (un toutou qui se nomme Grizzly), à la manière de la collection de livres Biscuit et Cassonade.

Dès le début de l’année scolaire, j’ai observé que certains élèves avaient de la difficulté à gérer leurs émotions. Effectivement, j’ai un élève qui se met à pleurer et se referme sur lui-même en allant se cacher dans un coin ou en se bouchant les oreilles dès que quelque chose ne fait pas son affaire. J’en ai deux autres qui sont impulsifs et qui ont de la difficulté avec l’empathie. Je trouvais que ces éléments pourraient m’aider à créer un projet pédagogique pour intervenir sur un besoin, mais je ne trouvais pas que ça touchait assez d’élèves pour que ce soit un besoin de classe.

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