Dès la rentrée scolaire, la direction de mon école de stage souhaitait que l’ensemble de l’équipe école emploie les outils proposés par le programme de formation « L’école au cœur de l’harmonie ». Les outils et interventions enseignés par ce programme visent à réduire les comportements de violence à l’école. Ainsi, grâce à ses clés d’attitude et à son vocabulaire imagé, ce programme a pour intention de faciliter la communication entre les élèves.
Tout d’abord, mon stage s’est déroulé dans une classe de deuxième année à l’école de l’Escabelle. Dans cette classe, il y avait 13 garçons et 7 filles. Suite à mes observations, j’ai vite réalisé que ces élèves étaient très créatifs et qu’ils adoraient dessiner. Ils adoraient inventer des personnages. Par contre, ils étaient souvent à court d’idées lorsque venait le temps d’écrire. Ils n’aimaient pas particulièrement l’écriture et ils trouvaient cela difficile.
Contexte
Dans le cadre de mes observations réalisées au tout début du stage IIII, j’ai constaté qu’un des élèves de ma classe terminait très rapidement ses travaux. Lorsque j’ai partagé mes observations avec mon EA, celle-ci m’a spécifié qu’il s’agissait d’un élève avec un haut potentiel intellectuel (douance).
Interventions menées lors de mon projet d'intervention en contexte
Au début de l'année scolaire, la direction de mon école de stage nous a offert une formation sur un nouveau programme qu'elle souhaitait implanter au sein de l'école. Ce programme nommé « L'école au coeur de l'harmonie » s'inscrit dans un processus de développement des habiletés sociales chez les élèves afin de réduire les comportements de violence à l'école. En équipe cycle de stagiaires, nous avons été interpellées par ce programme et nous avons décidé de bâtir notre projet PIC autour de ce dernier.
L’automne dernier, j’ai eu l’occasion de réaliser mon stage final en 1re année, dans une école en milieu multiculturel et défavorisé de Limoilou. Comme c’était ma deuxième expérience de stage dans un tel milieu, j’étais déjà à l’affût des particularités que ces milieux engendrent. Je pense notamment au fait que les élèves de ces écoles sont nombreux à grandir et évoluer dans des familles défavorisées sur les plans économique et social, ce qui amène souvent la problématique d’une sous-stimulation des enfants en bas âge.
Tout d’abord, mon stage s’est déroulé dans une classe de première année où j’ai pu enseigner à quatorze élèves. J’ai rapidement réalisé que plusieurs d’entre eux avaient des difficultés d’apprentissage, notamment les trois enfants qui reprenaient leur première année et pour qui nous avons élaboré des plans d’intervention. De plus, d’autres élèves avaient aussi des difficultés marquées, plus particulièrement en français, mais aussi en mathématique.
L’automne dernier, j’ai effectué mon stage dans une classe de 1re année, dans une école provenant d’un milieu favorisé. Cette école comportait peu de diversité culturelle. C’est un constat que j’ai réalisé dès mon premier jour, en notant un énorme contraste avec le contexte de mon stage 3 effectué en milieu multiculturel.
Mon stage 4 en enseignement primaire s'est déroulé à l'école Saint-Louis-de-France 1 dans une classe de deuxième année. Puisque je souhaitais amener les élèves à développer leurs habiletés en écriture, je me suis lancée dans le pilotage d'ateliers qui permettaient aux élèves de réaliser une mini revue inspirée des National Geographic. De fait, les élèves apprenaient progressivement à écrire des textes informatifs leur permettant d'acquérir autonomie et confiance en écriture.
Cet automne, j’ai effectué mon stage à l’école Harfang-des-neiges dans une classe de 2e année de 22 élèves. Dans cette classe, plusieurs élèves présentaient des besoins particuliers : 2 élèves avec un diagnostic du trouble du spectre de l’autisme, une élève ataxique, un élève avec une surdité, une élève avec de grande difficulté d’apprentissage et 6 élèves suivis régulièrement en orthopédagogie, autant en français qu’en mathématique.
Cet automne, j’ai eu la chance de réaliser mon stage dans une classe de 1re année. Dès le début de mon stage, mon enseignante associée et moi avons pu remarquer que les élèves développaient tranquillement leur goût de la lecture et de l’écriture. Pour certains, la motivation à apprendre à lire était vraiment présente, et pour d’autres, cela semblait être moins présent. Par exemple, lorsque nous allions à la bibliothèque de l’école, certains enfants n’avaient pas vraiment un grand intérêt pour les livres.