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3e cycle

J'ai effectué mon stage IV ainsi que mon PIC dans une classe de 5e année qui suivait un programme d'anglais intensif. Cela signifiait que tous les apprentissages à réaliser en français en mathématique et en univers social se devaient d'être complétés pour la première moitié de l'année (jusqu'au 26 janvier). Cela a pour effet que tous les apprentissages se font à un rythme accéléré, à un rythme « intensif ». À ce sujet, mon enseignant associé m'a alors mis en garde en ce qui concerne la tenue de projets d'envergure. 

Dès le début de mon stage, mon enseignante et moi faisions travailler les élèves en équipe afin de les amener à coopérer et à utiliser les compétences de chacun pour réaliser le travail demandé. Cependant, à plusieurs reprises, j’ai dû intervenir auprès de mes élèves puisque ceux-ci ne travaillaient pas de façon équitable, c’est-à-dire qu’un des deux faisait le travail et que l’autre copiait ensuite ses réponses. De plus, lors de ces mêmes travaux d’équipe, les élèves avaient de la difficulté à discuter entre eux et à accepter les idées des autres.

J’ai effectué mon stage dans une classe multi niveau de 3e cycle. J’avais donc 14 élèves de 5e année et 10 élèves de 6e année. L’écriture est très valorisée dans leur classe et les élèves écrivent chaque jour. Dès le début du mois de septembre, en corrigeant leurs textes, je me suis aperçue d’une problématique généralisée autant chez les élèves les plus forts que chez les plus faibles. Il s’agit de la notion des homophones.

jan 29 2018

L’anglais intensif en 6e année peut être difficile pour certains élèves, étant donné la vitesse à laquelle la matière est enseignée. Dans ma classe de stage, les mathématiques sont une grande difficulté pour beaucoup d’élèves. En effet, 10 élèves sur 23 ont un plan d’intervention pour les mathématiques. J’ai donc choisi de sortir du cahier et de travailler ou de revoir plusieurs notions à l’aide d’un projet qui les rejoindrait.  

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