J’ai effectué mon 4e stage au sein d’une superbe classe de 5e année à l’école des Jeunes-du-Monde. Comme il s’agit d’un milieu où l’indice de défavorisation est au plus élevé, j’ai pu observer certaines lacunes au niveau des connaissances générales des élèves de ma classe de stage. Une bonne partie d’entre eux viennent d’un milieu socioéconomique faible. Les familles de ces élèves sont souvent dans le besoin et disposent de peu de ressources.
La classe dans laquelle j’ai effectué mon stage final était une classe de 5e année à l’école de la Saumonière. Dans celle-ci, il y avait 26 élèves dont deux qui avaient un trouble de comportement. C’est ce dernier point qui a attiré mon attention puisqu’un de ces deux élèves avait une grande difficulté à se mettre à la tâche. Ceci était ma problématique de départ, car environ une semaine sur deux, il lui arrivait de ne pas être motivé et de ne pas faire le travail demandé le lundi matin.
Le projet consistait en une présentation d’un livre que chaque élève choisissait. Ce choix de projet résidait dans le fait que les élèves de la classe n’étaient pas portés vers la lecture. La classe étant principalement composée de garçons, certains jeunes lisaient simplement parce que cela leur était demandé en classe et d’autres ne faisaient qu’observer les images de leur livre, et ce, même s’il s’agissait d’une classe de 4e, 5e et 6e années.
Contexte
J’ai réalisé mon stage 4 dans un milieu aisé, plus précisément, dans une classe de 26 élèves de 6e année du collège Bourget de Rigaud. Les élèves participaient activement aux cours et aux projets, ils posaient des questions et ils étaient actifs dans leurs apprentissages. J’irais même jusqu’à dire que plusieurs d’entre eux démontraient de l’anxiété de performance ce qui les amenait à être compétitifs.
Mon stage 4 s’est déroulé dans une classe de 5e année. Dès le début de l’année, j’ai remarqué que quelques élèves étaient moins motivés lors des cours de français. J’ai donc décidé de faire un projet afin de les motiver. Je suis partie d’un thème qui en intéressait plusieurs et qui m’intéressait également c’est-à-dire la musique pour travailler la poésie.
J’ai réalisé mon stage 4 à l’école de l’Accueil à Saint-Émile dans une classe de 5e année. C’est en observant mes profils d’élèves que je me suis rendu compte que ceux-ci avaient beaucoup d’énergie et qu’ils avaient un grand besoin de bouger. C’est pourquoi mon projet d’intervention en contexte visait les saines habitudes de vie. Que ce soit par rapport à l’activité physique, à l’alimentation, mais aussi à l’estime de soi.
Lors de mon stage final, j’ai pu observer que mes élèves avaient un certain désintérêt vers le français. En effet, la majorité de mes élèves trouvait cette matière comme étant leur moins préférée. Certains élèves aimaient la lecture, mais très peu aimaient l’écriture. De plus, les élèves avaient besoin d’apprendre plus sur l’inférence sans toutefois trouver la compréhension de texte ennuyante. C’est pourquoi j’ai créé un projet qui allait être différent de ce qu’ils font à l’habitude et qui pourrait être un défi pour les élèves forts. Nous avons entamé un projet sur la poésie.
Mon stage 4 s'est déroulé dans un milieu multiculturel, soit à l’école Notre-Dame-de-Foy dans une classe de 6e année de 12 élèves. Après quelques semaines passées dans cette dernière, j’ai pu réaliser que l’écart entre les élèves plus forts et les élèves plus faibles était assez flagrant. En discutant avec mon enseignante associée, nous étions en accord avec le fait que la plus grande difficulté de nos élèves était : l’écriture.
Mon dernier stage s'est déroulé à l'école du Harfang-des-Neiges à Stoneham dans une classe de 5e année. Dès le début de l'année, j'ai pu percevoir une certaine pauvreté dans le vocabulaire de mes élèves. En effet, leur vocabulaire était répétitif et peu évocateur dans leurs textes écrits. Il va sans dire que l'orthographe des mots était aussi problématique chez plusieurs élèves de la classe. Ainsi, j’ai pensé créer un projet qui pouvait répondre à ce besoin tout en enrichissant le vocabulaire des élèves.
Bonjour chers collègues du BÉPEP!
Pour ma part, j'ai réalisé mon dernier stage dans une classe de 6e année. Dès le début de l'année scolaire, une baisse de motivation chez les élèves était observable lors des tâches d'écriture. J'ai donc élaboré un projet qui visait à favoriser une attitude positive face à l'écriture et donc, une plus grande motivation.