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Mise en contexte :

Dans le cadre de mon parcours universitaire, j’ai eu la chance de faire un stage en Belgique dans une école qui offrait des formations en enseignement « Outdoor » aux étudiants belges. Ce stage ayant duré deux semaines, j’ai pu observer un avancement à plusieurs niveaux chez les enfants de maternelle en ce qui concerne l’autonomie, la motricité (globale et fine), la gestion des émotions, la conscience de la sécurité, la débrouillardise, l’imagination, etc. 

jan 28 2021

Les pauses actives

  • Katherine Allard

Dans ma classe de stage, j’ai remarqué que les élèves ont beaucoup de difficulté à rester assis et en silence pendant un certain temps. Même à l’heure de l’histoire, alors qu’ils viennent de terminer la détente, ils commencent à décrocher après 10 minutes. Ils ne sont alors plus en position d’écoute et sont facilement distraits. Cela fait en sorte que je choisis des histoires plus courtes, qui sont parfois moins intéressantes. Je suis dans une classe très petites, les élèves n’ont pas beaucoup d’espace pour bouger et ils font très peu de jeux libres.

Mon projet d'intervention en contexte s'est développé autour du développement moteur des élèves, plus particulièrement en lien avec l’acquisition des habiletés de motricité fine. Le projet s'est échelonné sur trois semaines, soit sur l’ensemble du bloc 3 de mon stage. La visée du projet était de permettre aux élèves d’expérimenter davantage d’activités de motricité fine au cours de cette période, mais également d’intégrer une variété d’activités promouvant la motricité globale aux routines quotidiennes des élèves.

Dès le début de mon stage, j’ai remarqué que la majorité des élèves de ma classe n’arrivent pas à rester assis pendant quinze minutes sans bouger, soit au tapis ou encore à leur place attitrée aux tables. Je dois donc souvent leur rappeler la bonne posture à prendre pour être en mesure de m’écouter (la position branchée). Sur le tapis, surtout lors de la causerie, les enfants gigotent, touchent les autres sans respecter leur bulle, se couchent sur le dos, frappent les autres avec leurs pieds, font du bruit avec les velcros de leurs souliers, etc.

J’ai réalisé mon dernier stage dans une classe de maternelle 5 ans à Saint-Georges de Beauce. Dès le début de l’année, j’ai pu constater que plusieurs élèves se fatiguaient rapidement lors des routines de motricité globale ainsi que pendant les tâches qui consistaient à colorier, tracer ou découper. Les jeux de motricité fine étaient ardus pour ces élèves, qui soupiraient et demandaient d’arrêter quand on jouait avec des pinces, des balles antistress et de la pâte à modeler.

jan 19 2021

Mon stage se déroulait dans un milieu défavorisé et dès le début, j’ai remarqué que beaucoup d’enfants n’avaient pas été stimulés à la maison. Plusieurs observations m’ont amené à cette conclusion. Tout d’abord, certains élèves de la classe n’avaient jamais vraiment pris un crayon pour écrire et ne le tenaient pas de la bonne façon. De plus, des élèves n’avaient jamais tenu de ciseaux dans leur main. Une autre de mes observations a été lorsque je parlais avec les élèves. J’ai remarqué qu’ils avaient un niveau de langage très familier.

jan 19 2020

J’ai effectué mon stage final à l’école de la Source située dans le secteur de Loretteville. J’ai enseigné au préscolaire à une classe de 17 élèves. Parmi ceux-ci, il y avait une élève dont le père était d’origine mexicaine et une dont les parents étaient originaires du Sénégal. De ce fait, j’ai trouvé pertinent d’adopter une approche pédagogique par thème portant sur la culture africaine. 

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