Cet automne, j'ai eu la chance de réaliser mon stage IV au préscolaire, à l'école Montessori de Québec. Dans ma classe de stage, il y avait des enfants de trois à six ans. Pendant l'après-midi, les enfants de trois ans faisaient une sieste, mais il n'y avait aucune période de détente pour les enfants de quatre et de cinq ans. J'ai alors pris le temps d'instaurer deux périodes de détente pendant la semaine. Pour commencer, nous avons fait du yoga et des périodes de relaxation (méditation).
Au début du mois d’octobre, mon enseignante associée et moi avons eu la formation Actif au quotidien. Dans mon école de stage, ils prônaient beaucoup l’activité physique afin de tenir les élèves actifs durant leurs apprentissages. Au préscolaire, à l'école Le Ruisselet, les élèves ont seulement une période d’éducation physique sur un cycle de dix jours. Ils vont donc se dégourdir au gymnase une seule fois au deux semaines avec l'enseignant d'éducation physique.
Contexte de classe
PIC : Programmation
J’ai complété mon stage IV au préscolaire à l’école de l’Arc-en-Ciel dans la commission scolaire des Premières Seigneuries. Il y avait trois classes de préscolaire à l’école. Dans ma classe, il y avait 16 élèves : 9 filles et 7 garçons. C’était une classe avec une grande énergie et de nombreux défis de comportements. Une TES accompagnait une élève dyspraxique 15 heures par semaine.
Mes observations
J'ai réalisé mon stage à Victoria, en Colombie-Britannique. J'étais dans une école francophone en milieu minoritaire. Il ne s’agit pas d’une école d’immersion, mais bien d’une école francophone. L’enseignement se fait entièrement en français. Par contre, cela ne signifie pas que l’ensemble de la classe comprend le français. Plus de la moitié des élèves ne parlait pas du tout le français (parlé et compris). Les écoles du CSF (Conseil Scolaire Francophone) sont accessibles aux enfants dont les parents / grands-parents ont reçu une partie de leur éducation en français.
Ce projet d'intervention s'est réalisé dans une classe de co-enseignement du préscolaire. La classe était composée de 38 élèves, de deux enseignantes associées, ainsi que deux stagiaires de quatrième année. Ce projet d'intervention est donc la réalisation de deux étudiantes, soit Mélissa Fortier et moi-même.
J’ai réalisé mon stage final au préscolaire à l’école Rode-des-Vents en Colombie-Britannique. Dans cette école du conseil scolaire francophone, la réalité de la langue française était bien différente de celle des écoles québécoises où j’avais effectué mes stages jusqu’à présent. Avant même d’arriver en Colombie-Britannique, je savais que mon projet d’intervention en contexte devrait avoir pour but de favoriser l’apprentissage de la langue française puisque plusieurs élèves de maternelle ne parleraient pas français en début d’année.
J’ai fait mon stage IV dans une petite école de 154 élèves. Il y a certains besoins chez les élèves. Surtout en ce qui concerne le vocabulaire de ceux-ci. C’est d’ailleurs un objectif qui est présent dans le projet éducatif de l’école.