Mon stage s'est déroulé dans une classe de 4e année d'un milieu assez défavorisé. Avant même le début du stage, j'avais exprimé à mon enseignante associée le désir d'implanter des ateliers d'écriture avec les élèves. Elle était emballée par l'idée puisque l'écriture est une importante lacune chez ses élèves depuis quelques années. Dès les premiers jours, j'ai pu constater les habiletés de mes élèves... Plusieurs refusaient d'écrire ou prenait énormément de temps à chercher comment écrire les mots. D'autres élèves écrivaient au son, omettaient les majuscules et les points, etc.
Contexte Dès le début de l’année scolaire, j’ai remarqué que les élèves avaient un grand besoin d’être dirigés dans les activités de classe. Ils cherchaient à trouver réponse rapidement à leur questionnement, mais se mobilisaient peu. Ils ne se référaient presque pas à leurs outils et préféraient poser la question à l’enseignant plutôt que d’avoir à chercher eux-mêmes. En français, ces difficultés transparaissaient principalement lorsqu’ils étaient face à une lecture.
Pour mon stage, j'ai eu la chance d'être dans une classe de 2e année de 24 élèves très différents. Les habiletés des élèves à bien cohabiter avec leurs camarades n'étaient pas du tout développées. Le simple fait d'interagir avec les autres, de jouer entre eux ou encore de faire des travaux d'équipe demandait énormément de gestion et plusieurs interventions.
Au cours de mon stage, j’ai fait plusieurs observations pour bien connaître mes élèves et la dynamique qui existait entre eux. J’ai rapidement vu que mes élèves étaient émotifs. Quelques-uns utilisaient cette émotivité et cette sensibilité à bon escient, en soulignant par exemple les bons coups de leurs pairs. D’autres s’emportaient facilement et pouvaient alors tenir des propos blessants ou, dans de rares cas, en venir aux coups. De plus, j’ai remarqué que certains élèves étaient moins intégrés dans le groupe et plus souvent ciblés par les critiques.
Contexte:
Mon projet consistait principalement à intégrer la robotique dans la classe, au travers des différentes matières, de façon à amener les élèves à relever de nouveaux défis pour aller plus loin.
Contexte :
Au cours des premières semaines de stage, j’ai pu remarquer que les élèves de ma classe avaient de la difficulté à raconter un évènement ou une histoire de façon structurée. Ainsi, j’ai donc décidé de faire mon projet PIC sur le schéma du récit. Au cours des trois étapes du projet, les élèves ont eu l’opportunité de développer leur capacité à raconter une histoire ou un évènement de façon structurée pour que le tout soit cohérent.
Contexte : Après quelques semaines passées en classe, il est devenu possible de faire différents constats en lien avec les élèves, le contexte dans lequel ils se retrouvaient, leurs besoins et leurs difficultés communes quant à certains domaines d’apprentissage en particulier. D’abord, pour la majorité du groupe-classe, on pouvait observer une difficulté qui, elle, était liée à l’une des compétences transversales qu’on peut retrouver dans le PFÉQ, soit celle de « se donner des méthodes de travail efficaces ».
Mon PIC a été réalisé auprès d’élèves de 3e année du primaire. Il avait pour objectif de travailler la compréhension en lecture des élèves par l’enseignement réciproque des stratégies de lecture. Pour ce faire, j’ai divisé le groupe d’élèves en 4 sous-groupes de 4 élèves. La division a été réalisée de manière à répartir les forces des élèves et ainsi favoriser l’entraide dans le sous-groupe. Chacun des élèves avait un rôle à jouer parmi les 4 suivants : prédire, clarifier, résumer et répondre.
Contexte de classe
Vignette - PIC
Le projet d’intervention en contexte que j’ai mené en est un de correspondance. Par conséquent, le projet consistait à écrire à une autre classe de 3e année. Nous, les élèves et moi, avons fait cela en envoyant des lettres par la poste afin de découvrir ce moyen de communication. Notre classe correspondante est située à Montréal.