Mon stage 4 en enseignement primaire s'est déroulé à l'école Saint-Louis-de-France 1 dans une classe de deuxième année. Puisque je souhaitais amener les élèves à développer leurs habiletés en écriture, je me suis lancée dans le pilotage d'ateliers qui permettaient aux élèves de réaliser une mini revue inspirée des National Geographic. De fait, les élèves apprenaient progressivement à écrire des textes informatifs leur permettant d'acquérir autonomie et confiance en écriture.
Contexte de l’école
J’ai réalisé mon stage IV en milieu rural dans une petite école nommée De la Berge ; un établissement considéré comme étant légèrement défavorisé (SFR de 4 et IMSE de 6) (MESS, 2019). Trois degrés y sont présents, soit le préscolaire, la première année ainsi que la deuxième année pour un total de 35 élèves, trois enseignantes et une technicienne en éducation spécialisée.
Contexte de la classe
Cet automne, j'ai effectué mon stage final à l'école François-Thibault à Bonaventure, mon village natal en Gaspésie. La classe dans laquelle j'ai eu la chance d'enseigner est une classe multiniveau de troisième et quatrième années. La disparité de la vitesse d'apprentissage des élèves y est très grande. Parmi les 23 élèves, deux sont en modification de niveau premier cycle et un est en modification de niveau préscolaire. Plusieurs autres présentent des difficultés variées.
Mon stage se déroulait dans une classe de première année. La plus grande préoccupation que j'ai eue dans les premières semaines était le fait que j'observais un grand écart dans l'apprentissage de la lecture entre mes élèves.
Mon stage se déroulait dans une classe de première année. La plus grande préoccupation que j'ai eue dans les premières semaines était le fait que j'observais un grand écart dans l'apprentissage de la lecture entre mes élèves.
Dans ma classe de stage, les élèves étaient très engagés. Ils participaient, et ce, peu importe l’activité offerte. Ils aimaient apprendre de façon ludique (en imitant, par exemple, des sons d’animaux ou en se déplaçant de différentes façons). C’était donc une classe motivée à apprendre et toujours prête à avoir de nouvelles connaissances. Au début de l’automne, j’utilisais beaucoup la littérature jeunesse pour les faire réagir et pour leur permettre de se détendre, de rire et de partager leurs sentiments.
Mon stage s'est déroulé dans une classe de 4e année d'un milieu assez défavorisé. Avant même le début du stage, j'avais exprimé à mon enseignante associée le désir d'implanter des ateliers d'écriture avec les élèves. Elle était emballée par l'idée puisque l'écriture est une importante lacune chez ses élèves depuis quelques années. Dès les premiers jours, j'ai pu constater les habiletés de mes élèves... Plusieurs refusaient d'écrire ou prenait énormément de temps à chercher comment écrire les mots. D'autres élèves écrivaient au son, omettaient les majuscules et les points, etc.
Contexte : Après quelques semaines passées en classe, il est devenu possible de faire différents constats en lien avec les élèves, le contexte dans lequel ils se retrouvaient, leurs besoins et leurs difficultés communes quant à certains domaines d’apprentissage en particulier. D’abord, pour la majorité du groupe-classe, on pouvait observer une difficulté qui, elle, était liée à l’une des compétences transversales qu’on peut retrouver dans le PFÉQ, soit celle de « se donner des méthodes de travail efficaces ».