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jan 11 2022

Dans le cadre de mon projet d’intégration en contexte, j’ai mis en œuvre une séquence d’enseignement portant sur la tolérance des enfants. Je l’ai nommé : « Soyons tolérants ! ». Cette idée m’est venue à la suite des observations que j’ai faites dans mon milieu de stage. En effet, l’école dans laquelle j’enseigne se situe au Lac-Beauport, un milieu très favorisé. J’ai remarqué que les élèves, issus de ce milieu, pouvaient avoir un regard critique envers les autres et même parfois faire preuve de jugement négatif.

L’automne dernier, j’ai eu la chance d’effectuer mon stage 4 en maternelle à Victoria, soit en Colombie-Britannique. Étant dans un milieu minoritairement francophone, j’ai rapidement constaté que le défi de la langue française était majeur dans ma classe. Toutefois, au fil des premières semaines, j’ai également constaté un autre défi important, soit le manque d’éveil chez les élèves concernant leur environnement immédiat. En d’autres mots, les élèves ne démontraient pas de curiosité, voire d’intérêt concernant la découverte et les apprentissages.

jan 18 2020

Cet automne, j’ai effectué mon stage à l’école Harfang-des-neiges dans une classe de 2e année de 22 élèves. Dans cette classe, plusieurs élèves présentaient des besoins particuliers : 2 élèves avec un diagnostic du trouble du spectre de l’autisme, une élève ataxique, un élève avec une surdité, une élève avec de grande difficulté d’apprentissage et 6 élèves suivis régulièrement en orthopédagogie, autant en français qu’en mathématique.

J'ai réalisé mon stage à Victoria, en Colombie-Britannique. J'étais dans une école francophone en milieu minoritaire. Il ne s’agit pas d’une école d’immersion, mais bien d’une école francophone. L’enseignement se fait entièrement en français. Par contre, cela ne signifie pas que l’ensemble de la classe comprend le français. Plus de la moitié des élèves ne parlait pas du tout le français (parlé et compris). Les écoles du CSF (Conseil Scolaire Francophone) sont accessibles aux enfants dont les parents / grands-parents ont reçu une partie de leur éducation en français.

fév 12 2019

Ma classe de stage était diversifiée et nous avions beaucoup d’énergie. Mes 19 élèves de 4e année de l’école Saint-Mathieu aimaient beaucoup apprendre de nouvelles choses. Cependant, il y a beaucoup de révision en début d’année et j’ai constaté une perte d’intérêt progressive chez plusieurs élèves. J’ai donc adapté mon enseignement en conséquence et j’ai décidé d’essayer certaines choses. Mon PIC, par exemple, avait pour objectif de permettre à chaque équipe (2-3 personnes) d’apprendre un savoir par eux-mêmes (préalablement choisis dans la PDA).

J’ai réalisé mon stage final au préscolaire à l’école Rode-des-Vents en Colombie-Britannique. Dans cette école du conseil scolaire francophone, la réalité de la langue française était bien différente de celle des écoles québécoises où j’avais effectué mes stages jusqu’à présent. Avant même d’arriver en Colombie-Britannique, je savais que mon projet d’intervention en contexte devrait avoir pour but de favoriser l’apprentissage de la langue française puisque plusieurs élèves de maternelle ne parleraient pas français en début d’année.

Mon projet d’intervention en contexte (PIC) visait le développement de l’autonomie chez des élèves évoluant dans une classe multiniveau. En effet, j’effectuais mon stage dans une classe de première et de deuxième année. Les élèves qui constituaient ma classe de stage ont été choisis comme étant des élèves forts au niveau académique et autonomes. Toutefois, le contexte de double niveau a tout de même engendré le problème de l’autonomie, puisque les élèves devaient à l’occasion travailler de manière autonome pendant certaines périodes pour que je puisse me concentrer sur l’autre niveau.

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