Lors de mon stage final, j’ai pu observer que mes élèves avaient un certain désintérêt vers le français. En effet, la majorité de mes élèves trouvait cette matière comme étant leur moins préférée. Certains élèves aimaient la lecture, mais très peu aimaient l’écriture. De plus, les élèves avaient besoin d’apprendre plus sur l’inférence sans toutefois trouver la compréhension de texte ennuyante. C’est pourquoi j’ai créé un projet qui allait être différent de ce qu’ils font à l’habitude et qui pourrait être un défi pour les élèves forts. Nous avons entamé un projet sur la poésie.
Commencer sa première année, c’est une étape importante pour plusieurs enfants : c’est l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, l’identification (et – surtout – la découverte) des goûts personnels ainsi que le développement de diverses habiletés motrices, cognitives et sociales.
En observant mon contexte de classe, j’ai vu qu’une difficulté principale se situait généralement en français. Effectivement, en écriture, quelques enfants du groupe « n’avaient pas d’idées » et avaient tellement peur de faire des fautes que cela bloquait leur fluidité de rédaction. De plus, au moins le tiers du groupe écrivait syllabiquement, ce qui apportait aussi une difficulté de compréhension. C’est donc pourquoi je voulais travailler l’écriture.
J’ai effectué mon stage dans une classe de deuxième année dans la région des Bois-Francs. Les apprenants de ma classe de stage provenaient d’un milieu défavorisé. Ainsi, ils sont plus enclins à avoir un faible vocabulaire comparativement à des élèves issus de milieux plus aisés. Par conséquent, j’ai observé que le faible bagage lexical entrave la compréhension des élèves.
J’ai effectué mon stage dans une classe de deuxième année dans la région des Bois-Francs. Les apprenants de ma classe de stage provenaient d’un milieu défavorisé. Ainsi, ils sont plus enclins à avoir un faible vocabulaire comparativement à des élèves issus de milieux plus aisés. Par conséquent, j’ai observé que le faible bagage lexical entrave la compréhension des élèves.
Cet automne, j’ai effectué mon stage à l’école Harfang-des-neiges dans une classe de 2e année de 22 élèves. Dans cette classe, plusieurs élèves présentaient des besoins particuliers : 2 élèves avec un diagnostic du trouble du spectre de l’autisme, une élève ataxique, un élève avec une surdité, une élève avec de grande difficulté d’apprentissage et 6 élèves suivis régulièrement en orthopédagogie, autant en français qu’en mathématique.
Observations du contexte
Le projet d’intervention en contexte a été réalisé dans une classe jumelée de 21 élèves du 3e cycle. Il a été réfléchi en fonction des besoins des élèves et du projet éducatif de l’école qui se résume en deux grandes branches : la littératie et la coopération.
Vers la fin du mois de septembre, mon enseignante associée et moi avons constaté que plusieurs de nos élèves (5e année) avaient de la difficulté à lire plus de 10 minutes sans décrocher. Dans ma classe de stage, la lecture c’est la clé de tous les apprentissages. C’est à partir de la lecture que nous développons notre créativité, notre vocabulaire, notre culture, notre plume d'écrivain et même notre habileté à faire des mathématiques.
Pendant le stage 4, j'étais dans une classe de première année. J'enseignais à 19 élèves, dont certains qui avaient des difficultés marqués. Par contre, d'autres démontraient un intérêt particulier pour l'écriture de courtes histoires collective et pour la confection de petits livres.