Contexte:

J'ai réalisé mon stage final dans une classe de 2e année. Pour ce qui est du portrait général de ma classe, les élèves n'ont pas de trouble de comportement et en ce qui concerne les apprentissages, les élèves ont énormément progressé au fil de la première étape. De plus, pour les apprentissages, j'ai fonctionné pour la première fois avec les cibles au quotidien dans ma classe en français et en mathématiques. 

J'ai eu la chance d'effectuer mon dernier stage au 3e cycle, plus précisément en 5e année dans l'École Saint-Jean-Baptiste. Ce fut une expérience géniale. 

Mon projet d'écriture collaborative vise à développer le processus cognitif des élèves en leur demandant d'élaborer leurs idées. Ce projet devait se faire en collaboration avec des élèves de 4e année afin que ceux-ci puissent guider les élèves de première année dans la rédaction d'un récit en 3 temps. Certaines notions doivent être enseignées avant de commencer ce projet : Le récit en 3 temps, l'accompagnement d'un élève plus jeune et comment détailler davantage ses idées. Le jumelage des élèves est important pour amener chaque élève à faire des progrès.

Un projet pédagogique unique destiné aux élèves de 6e année du primaire, visant à cultiver quatre compétences essentielles : la confiance en soi, la planification et la gestion, la discipline, ainsi que la motivation.

Ce projet ambitionne de favoriser l'autonomie des élèves dans leur apprentissage en développant ces compétences cruciales. L'approche collaborative, basée sur le travail en groupe, permet aux élèves de renforcer ces compétences de manière interactive et solidaire.

Contexte: 

J'ai effectué mon stage 4 dans une classe à double niveau (3e-4e année). Mon enseignante associée enseignait sans cahier. Il est important de mentionner qu'il y avait un grand écart académique entre les 3e et les 4e année. Cette classe représentait un grand défi, car il y avait quelques élèves ayant des troubles du comportements. 

Problématique:

Pour commencer, j’ai réalisé mon stage dans une classe de 26 élèves de 6e année d’une école de Charlesbourg. Dans cette classe, j’ai rapidement pris connaissance des pistes d’action à mettre en place pour aider nos élèves ayant davantage de difficultés. Toutefois, suite à de nombreuses discussions avec mon enseignante associée, j’ai constaté que nos élèves «forts» étaient, bien malgré nous, nos élèves oubliés. Ce qui m’a d’ailleurs ébranlé a été de lire dans le texte d’une de nos élèves les phrases suivantes: «À l’école, je m’ennuie.

J’ai fait mon stage dans une classe de première année auprès de 20 élèves. Dès les premières semaines d’école, j’ai pu observer plusieurs difficultés au niveau de la motricité fine et de la préhension du crayon chez plusieurs élèves de ma classe. Mon projet d’intervention en contexte fut donc élaboré autour de la question suivante : « comment le développement d’habiletés en motricité fine peut influencer l’apprentissage de l’écriture ? » Le but était de répondre aux besoins des élèves afin de les aider à cheminer dans ce nouvel apprentissage qu’est l’écriture.

Contexte : 

J’ai réalisé mon stage 4 dans une classe de 5e année en milieu défavorisé. Dès le début de mon stage, je savais que j’avais envie de faire un PIC en lien avec la lecture. J’ai pu rapidement identifier certaines problématiques liées à mon milieu, soit l’accès à la littérature, le goût de la lecture et le fait de choisir un livre à sa pointure. 

Depuis cette année, à l'école où j'ai réalisé mon stage 4, il n'y avait plus de restrictions pour les collations (autres celles liées aux allergies). En plus de ce retrait de restriction, chaque semaine, nous recevions quelques collations à distribuer au courant de la semaine selon les besoins. Cela étant dit, j'ai pu faire quelques observations en lien avec le fait de manger à sa faim ou non, puis de manger des aliments soutenants. Comme l'alimentation a un rôle à jouer dans le développement de l'enfant, mes observations m'ont grandement préoccupée.

Mon projet d’intervention en contexte sera sur les classes de mots et sur les groupes du nom. En effet, j’aimerais que les élèves de ma classe soient beaucoup plus à l’aise de différencier les classes de mots ainsi que de repérer et d’accorder les groupes du nom. Pour les aider, je n’ai pas prévu planifier une période complète pour parler des classes de mots ou des groupes de nom. Cependant, j’aimerais prendre un 10-15 minutes deux à trois fois par semaine pour faire des petites activités. De plus, je pourrais offrir quelques récupérations pour ceux et celles qui le veulent.