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Dès le début de mon stage, j’ai remarqué que la majorité des élèves de ma classe n’arrivent pas à rester assis pendant quinze minutes sans bouger, soit au tapis ou encore à leur place attitrée aux tables. Je dois donc souvent leur rappeler la bonne posture à prendre pour être en mesure de m’écouter (la position branchée). Sur le tapis, surtout lors de la causerie, les enfants gigotent, touchent les autres sans respecter leur bulle, se couchent sur le dos, frappent les autres avec leurs pieds, font du bruit avec les velcros de leurs souliers, etc.

J’ai réalisé mon dernier stage dans une classe de maternelle 5 ans à Saint-Georges de Beauce. Dès le début de l’année, j’ai pu constater que plusieurs élèves se fatiguaient rapidement lors des routines de motricité globale ainsi que pendant les tâches qui consistaient à colorier, tracer ou découper. Les jeux de motricité fine étaient ardus pour ces élèves, qui soupiraient et demandaient d’arrêter quand on jouait avec des pinces, des balles antistress et de la pâte à modeler.

Mon projet était de favoriser l'attention chez les élèves de maternelle en intégrant les pauses actives. Mes observations m’avaient permis de constater qu’ils n'étaient pas attentifs bien longtemps. En effet, lors du rassemblement au tapis le matin, les élèves étaient facilement distraits, par exemple un élève pouvait regarder au plafond, jouer avec ses souliers, parler avec l’ami à côté de lui, etc. Puis, j’avais observé qu’ils avaient de la difficulté à rester en position d’écoute pendant plus de 5 minutes.

Mon stage se déroulait dans le secteur de Saint-Augustin-de-Desmaures, un secteur dont le milieu socioéconomique est majoritairement favorisé. J'ai effectué mon stage à l'école des Pionniers en maternelle. J'avais un groupe-classe de dix-sept élèves. Plus de la moitié des élèves sont des élèves qui ont de la facilité à exprimer leur besoin, mais le font de manière impulsive. La majorité du groupe a beaucoup d'énergie et a besoin de bouger régulièrement et fréquemment dans une journée.

jan 16 2020

J’ai eu la chance de réaliser mon dernier stage à l’éducation préscolaire dans une classe de 19 enfants. Lors de la première moitié de mon stage, j’avais remarqué que beaucoup d’enfants avaient de la difficulté à rester assis pendant des périodes plus ou moins longues (10 minutes). Ils finissaient la plupart du temps couchés sur le dos, sur le ventre, sur le côté ou encore sur leurs genoux. J’avais aussi une classe qui aimait beaucoup aller à l’extérieur et qui me démontrait leur mécontentement lorsque nous devions entrer.

jan 15 2020

Pour mon stage 4, j'étais dans une classe du préscolaire intégrée dans une école secondaire. Les gymnases sont donc toujours réservés pour les élèves du secondaire et une petite place est faite pour les élèves du préscolaire. Alors, nous avions seulement une période d'éducation physique de 25 minutes par semaine... Tout au long des premières semaines de mon stage, j'ai remarqué des difficultés au niveau de la motricité globale de mes élèves (difficulté à descendre les marches en alternance, sauter, courir, etc.).

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