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Mon projet d'intervention en contexte portait sur le développement des habiletés sociales de mes élèves de 4e année. Ma classe était un lieu riche en discussions et commentaires. Mes élèves se connaissaient pour la plupart depuis la maternelle. Nous avions seulement une nouvelle élève dans la classe. Cependant, pendant les discussions de groupe et les moments de partages quotidiens et hebdomadaires, mes élèves ne posaient pas toujours des questions appropriées, utiles ou pertinentes.

Cet automne, ma classe de stage comportait 15 élèves. La plus grande problématique dans la classe était la capacité d’attention des élèves. En effet, cette problématique engendrait d’autres problèmes, soit le respect des attentes pédagogiques et comportementales, le contrôle des émotions, la désorganisation pendant les transitions ainsi que l’autonomie. Ainsi, en réglant la problématique principale, il m’a été possible de régler les autres problèmes nommés.

Au terme de mon stage IV en 3e année du primaire, pour mon projet d’intervention en contexte, j’ai choisi de travailler les habiletés de coopération avec mes élèves. Depuis le début de l’année scolaire, j’avais observé que, lors de travaux d’équipe, c'était souvent les mêmes élèves qui travaillaient alors que d’autres n’étaient pas à la tâche ou étaient mis de côté volontairement par leurs pairs. De ce fait, je devais intervenir auprès de certaines équipes puisque des conflits émergeaient.

Dans le cadre de mon projet PIC, j'ai fait une planification d'une semaine en lien avec les émotions (qui en réalité s'est étalée sur deux semaines). Ce thème a déjà été abordé avec les élèves après la lecture du livre La couleur des émotions. Ainsi, plusieurs activités en lien avec ce thème ont été réalisées dans le but d’aider les enfants à développer leurs compétences dans le domaine 2, soit le domaine affectif.

jan 20 2022

Observations du contexte et des besoins :

Ma classe de stage 4 était de niveau préscolaire (5 ans), dans l’école Cap-Soleil qui se situe au 5e rang décile sur l’échelle du seuil de faible revenu et au 3e rang décile sur l’échelle du milieu socio-économique (selon le rapport sur les Indices de défavorisation des écoles publiques publiée par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur en 2020). Donc, j’étais dans un milieu peu défavoriser. Dans ma classe, il y avait plus de garçons que de filles, soit 11 garçons et 8 filles.

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