Aller au contenu principal
Fév 05 2019

Mon projet PIC s’est déroulé au premier cycle, dans une classe de première année. Pendant les premiers mois du stage 4, j’ai remarqué qu’une grande majorité des élèves avaient de la difficulté à terminer leurs histoires quand venait le temps de l’écriture libre. De plus, quand je leur ai enseigné le récit en trois temps, quelques élèves étaient complètement perdus quand ils devaient écrire une histoire qui respectait ces conditions. J’ai donc décidé de faire mon PIC sur la motivation en écriture et sur le récit en trois temps.

 

Fév 04 2019

Dès le début de l’année scolaire, j’avais constaté un réel besoin au niveau de la lecture et de l’écriture dans ma classe de stage. D’abord, je m’étais davantage tournée vers l’écriture, car je jugeais que la motivation à écrire était moindre jusqu’à ce que je prenne conscience, avec l’aide de l’orthopédagogue de l’école, que le problème venait plutôt de la lecture. Comme elle m’a si bien mentionnée, tout passe par l’oral avant de faire le transfert à l’écrit.

Sujet de la séquence d'enseignement : Les inférences. J'ai fait le choix de mon PIC après avoir remarqué une activité de lecture que les élèves avaient beaucoup de difficulté à trouver des réponses qui n'étaient pas écrites textuellement. La déduction et la logique derrière l'analyse des phrases n'étant pas présentes, j'ai décidé d'investiguer dans cette direction. 

Fév 04 2019

Dans la classe de 2e année de l’École Au Millénaire, les élèves, en général, éprouvaient certaines difficultés en écriture. Depuis le début de l’année, avec les élèves, nous faisions de l’écriture libre trois à quatre fois par semaine. C’est-à-dire que nous utilisons la roue de l’écriture pour en faire ressortir un thème au hasard. Lorsque le thème était donné, les élèves me disaient ce qu’ils connaissaient du sujet, j’écrivais les idées au tableau et ils allaient ensuite écrire une phrase sur ce sujet.

Suite à mes observations, j’ai constaté que les élèves avaient besoin d’une « pause cerveau » en fin d’après-midi, puisque leur attention diminuait considérablement aux alentours de 15h00. En fait, la récréation de l’après-midi se terminait à 14h09 donc les élèves devaient être concentrés jusqu’à la fin des classes qui était à 15h35. Évidemment, pour des élèves de 1re année, il était difficile pour eux de rester concentré aussi longtemps, surtout en fin de journée.

S'abonner à Observation