Dès le début de l’année scolaire, mon enseignante associée et moi avons remarqué un besoin chez nos élèves de deuxième année : en écriture, ils étaient faibles et démotivés. En effet, il y a des élèves pour qui la segmentation des mots dans la phrase n’était toujours pas acquise, ce qui inquiétait mon enseignante associée, qui n’avait jamais vu cela en dix-sept ans de carrière. Peut-être c’était une conséquence de la fameuse COVID-19, mais c’était à nous de trouver une solution pour répondre à ce problème.
Commencer sa première année, c’est une étape importante pour plusieurs enfants : c’est l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, l’identification (et – surtout – la découverte) des goûts personnels ainsi que le développement de diverses habiletés motrices, cognitives et sociales.
J'ai effectué mon stage 4 dans une classe de 18 élèves, en sixième année. Il est à noter que je suis toujours dans cette classe, puisque c'était un stage en situation d'emploi et que cela s'est transformé en contrat jusqu'à la fin de l'année. Mon groupe ne comporte pas de grandes difficultés d'apprentissage individuelles, mis à part deux cas plus ou moins avancés de dyslexie et dysorthographie. Toutefois, dès les premières semaines passées dans la classe, j'ai remarqué une énorme lacune au niveau de la compétence « Écrire ».
L’automne dernier, j’ai réalisé mon stage dans une classe de première année. Dès le début de mon stage, mon enseignante associée et moi avons constaté que les élèves vivaient constamment des conflits et qu’ils n’étaient pas en mesure de les régler. Cela avait pour effet de perturber les activités de la classe notamment puisque nous perdions beaucoup de temps à régler des conflits lors des entrées en classe, mais aussi puisque les élèves n’étaient pas en mesure de collaborer pour réaliser des tâches.
Étant donné la situation actuelle, l'horaire de la classe ainsi que les périodes étaient différentes des années précédentes. Au lieu d'avoir 3 périodes le matin et 2 périodes l'après-midi, nous nous retrouvions à avoir 4 périodes le matin entre coupés avec une récréation de 20 minutes.
Après quelques semaines passées dans ma classe de cinquième année, j’ai pu faire différents constats en lien avec les élèves, le contexte dans lequel ils se retrouvaient, leurs besoins et leurs difficultés communes quant à certains domaines d’apprentissage en particulier. À la suite de ces observations et pour la majorité du groupe, j’ai pu observer une difficulté liée à une des compétences qu’on peut retrouver dans le programme de formation de l’école québécoise, soit celle d’« Écrire des textes variés ».
Observations du contexte
Description du projet et des observations du contexte
Le projet SMS (Samantha et Marie-Soleil) s'est mis en place dans les 2 classes de 3e année de l’école de l’Escalade. Les deux classes ont formé des nouveaux groupes (selon les besoins des élèves) afin de travailler différentes facettes de l’écriture. Le but était que les élèves prendre plaisir à écrire et à développer différentes stratégies de correction (en travaillant la fonction et le sens de chacune des classes de mots présentent dans une phrase).
L’automne dernier, j’ai eu l’occasion de réaliser mon stage final en 1re année, dans une école en milieu multiculturel et défavorisé de Limoilou. Comme c’était ma deuxième expérience de stage dans un tel milieu, j’étais déjà à l’affût des particularités que ces milieux engendrent. Je pense notamment au fait que les élèves de ces écoles sont nombreux à grandir et évoluer dans des familles défavorisées sur les plans économique et social, ce qui amène souvent la problématique d’une sous-stimulation des enfants en bas âge.
L’automne dernier, j’ai effectué mon stage dans une classe de 1re année, dans une école provenant d’un milieu favorisé. Cette école comportait peu de diversité culturelle. C’est un constat que j’ai réalisé dès mon premier jour, en notant un énorme contraste avec le contexte de mon stage 3 effectué en milieu multiculturel.