J’ai réalisé mon quatrième et dernier stage dans une classe de maternelle. Dès le début de l’année scolaire, j’ai remarqué quelques lacunes dans le développement du langage de plusieurs élèves de la classe. En effet, certains avaient de la difficulté avec quelques sons, à prononcer certains mots, à s’exprimer avec des phrases complètes, etc. Toutefois, malgré ces difficultés, la majorité des élèves aimaient parler et apporter leurs idées.
Dans un premier temps nous avons cherché où se trouvait le Japon sur une carte. Nous avons discuté (sous forme de tempête d'idées) de ce que nous savions sur ce pays.
Ensuite, j'ai l'aissé les élèves avec des petites vignettes comportant l'alphabet japonais (hiraganas) et leur lecture placée sur chaque vignette afin que les élèves essaient d'écrire leur prénom par eux-même (ceci avait pour but de les intéresser au projet mais également de les initier à la façon de penser des japonais, l'écriture étant intimement liée à leur culture cela pouvait les aider par la suite).
Contexte :
J’ai eu la chance de réaliser mon dernier stage dans une classe de première année à l’école des Jeunes-Du-Monde. J’ai remarqué rapidement que ma classe était très forte, car dès le début de l’année, la majorité des élèves savaient lire. Toutefois, lors de la routine du matin, les élèves avaient la possibilité de lire, d’écrire ou de dessiner et tous les élèves faisaient des dessins. De plus, un élève dessinait en tout temps des personnages de MONSIEUR MADAME et plusieurs autres élèves ont rapidement commencé à faire comme lui.
Mon projet d’intervention en contexte s’est adressé aux élèves de maternelle de ma classe. En étant au préscolaire, j’avais une période de détente après le diner qui durait entre 15 et 30 minutes. Les élèves se couchaient initialement sur leur tapis de yoga avec une petite musique calme. Par contre, à un certain moment, je me suis rendue compte que c’était devenu une période où je devais faire majoritairement de la discipline, ce qui faisait en sorte que les élèves ne se détendaient plus. C’est pourquoi j’ai décidé de me pencher sur la recherche d’une solution à ce problème.
Contexte : J’ai fait mon PIC dans une classe de 1re année où les élèves ne réalisaient pas beaucoup d’écriture et lorsqu’ils en faisaient, ils n’avaient pas accès à un mur de mots ou à une banque de mots. Ils n’avaient donc pas d’outils de référence à leur disposition et leurs écritures demeuraient au stade syllabico-alphabétique, même avec des mots d’orthographe qui avaient été appris. Nous avons donc exploré plusieurs outils de référence (abécédaire, imagier, dictionnaire, etc.) afin d’en cerner les utilités.
Mon stage se déroulait dans une classe de première année composée de 21 élèves, au Trivent 1. Dès le début de l’année où nous avions commencé l’écriture spontanée, plusieurs avaient le « syndrome de la page blanche » : ils ne savaient pas quoi écrire, même lorsqu’une image était montrée. Je voulais donc développer leur créativité ainsi que leur autonomie. D’un autre côté, j’ai quelques élèves qui écrivaient déjà de magnifiques phrases, et même des textes.