Dès le début de mon stage 4, j’ai pu observer que de nombreux élèves de ma classe de deuxième année étaient stressés ou même anxieux face au retour en classe. En effet, les mesures sanitaires en préoccupaient plus d’un que ce soit par rapport aux nouvelles routines (lavage de mains et désinfection fréquent), mais aussi aux nouvelles habitudes (bulle classe). Le fait de rester toujours avec les mêmes personnes et dans le même local affectait grandement mes élèves (comportements perturbateurs, pleurs, trop-plein d’énergie, état de panique intérieur, etc.).
Voici une citation de Sénèque qui introduit bien mon projet :
Dans mon projet, « c’est la vie qui nous apprend et non l’école ».
Description du projet et des observations du contexte :
J’ai réalisé mon stage dans une classe de première année. À ce niveau scolaire, les élèves assimilent les préalables pour apprendre à lire et à écrire, ce qui est un gros défi. Lors des périodes d’écriture plus particulièrement, j’ai remarqué que mes élèves avaient de la difficulté à être autonomes. Malgré le fait que mon enseignante associée et moi les encouragions à essayer seuls et que nous minimisions l’erreur, la plupart des élèves attendaient le soutien d’un adulte pour essayer d’étirer les mots et de trouver les sons afin d’écrire leurs idées.
La consultation du carnet de route de chaque élève de ma classe m’a permis de dresser un portrait de classe. Comme 7 élèves sur 17 manifestaient des comportements liés à l’anxiété, j’ai créé un questionnaire sur les émotions visant, entre autres, à connaître leurs sources d’anxiété et leurs moyens pour s’autoréguler.
Contexte
La pandémie qui sévit depuis mars 2020 n’a épargné personne. La vie a été mise sur pause pendant quelques mois, privant ainsi des milliers de petits étudiants de retourner sur les bancs d’école. Résultat : l’apprentissage des élèves en a pris un coup.
Dès le début de l’année scolaire, mon enseignante associée et moi avons remarqué un besoin chez nos élèves de deuxième année : en écriture, ils étaient faibles et démotivés. En effet, il y a des élèves pour qui la segmentation des mots dans la phrase n’était toujours pas acquise, ce qui inquiétait mon enseignante associée, qui n’avait jamais vu cela en dix-sept ans de carrière. Peut-être c’était une conséquence de la fameuse COVID-19, mais c’était à nous de trouver une solution pour répondre à ce problème.
Contexte
Mon stage s’est déroulé dans une classe de première année de vingt élèves (quatorze garçons et six filles). Parmi ceux-ci, sept élèves présentaient fréquemment des comportements perturbateurs. En consultant les fiches des élèves lors des premières journées pédagogiques, je sentais qu’il y aurait probablement un « besoin de bouger » chez la majorité d’entre eux. C’est pourquoi je pensais faire des activités qui leur permettraient de répondre à ce besoin.
J’ai réalisé mon stage final à l’école Jules-Émond dans une classe de deuxième année. Dès les premiers jours de classe, j’ai remarqué que mes élèves se décourageaient facilement devant une tâche d’écriture. Même les tâches d’écriture les plus courtes causaient beaucoup de frustration et de découragement. Les élèves disaient avoir mal à la main très rapidement et demandaient toujours : est-ce que j’ai écrit assez de mots ? De plus, les élèves disaient souvent n’avoir aucune idée et ne pas savoir quoi écrire.
J'ai réalisé mon stage final à l'école Jules-Émond dans une classe de deuxième année. Dès les premiers jours de classe, j'ai remarqué que mes élèves se décourageaient facilement devant une tâche d'écriture. Même les tâches d'écriture les plus courtes causaient beaucoup de frustration et de découragement. Les élèves disaient avoir mal à la main très rapidement et demandaient toujours : est-ce que j'ai écrit assez de mots ? De plus, les élèves disaient souvent n'avoir aucune idée et ne pas savoir quoi écrire.