Mon projet d'intervention en contexte s'est déroulé dans une classe de préscolaire de 5 ans où le coenseignement est en vigueur. Les interventions que j'ai menées avaient pour objectif de stimuler le langage oral des élèves en difficulté de manière plus efficace. Dans une classe de 38 élèves, j'observais que peu de temps de parole était accordé à ces enfants et que les rétroactions étaient insuffisantes pour les amener à progresser. Les bris de communication ou le manque de temps pour prendre la parole occasionnaient beaucoup de frustration et de déception chez ces élèves.
Dans le cadre de mon stage 4 effectué à l'école L'Arbrisseau, dans une classe de 1re année composée de 21 élèves, j'ai rapidement constaté que beaucoup d'entre eux privilégiaient la rapidité d'exécution plutôt que la qualité de leur travail. Ce phénomène entraînait des erreurs fréquentes, des oublis, ainsi que des productions incomplètes ou négligées. Face à ce constat, j'ai mis en place plusieurs interventions pédagogiques pour encourager l'application et le soin dans les tâches scolaires, avec pour objectif de valoriser la qualité du travail chez les élèves.
Dans ma classe de maternelle 4 ans, j'ai remarqué que certains élèves avaient l'air peu motivés durant les apprentissages. Ces élèves avaient souvent besoin d'encouragement pour débuter et/ou finir un travail. Le problème était en lien avec le domaine cognitif, avec sa compétence « découvrir le monde qui l'entoure » et sa composante « s'engager dans l'action ». Je me suis alors demandé « comment motiver davantage les élèves lors de nouveaux apprentissages? ».
Dans ma classe de stage de troisième année, j’ai observé que plusieurs élèves avaient de la difficulté avec la dimension « comprendre » de la compétence « Lire des textes variés », et ce, surtout lorsque les questions étaient liées à des éléments implicites des textes. En effet, lorsque je les questionnais sur ces éléments, ils me disaient souvent qu’ils ne pouvaient pas répondre, car ce n’était pas « écrit dans le texte ». Ils étaient habitués à repérer les réponses, à les surligner et à les retranscrire.
Mon projet d’intervention a été mené dans une classe de 18 élèves en 6e année du primaire à l’école des Berges. Il était lié à la compétence disciplinaire « Écrire des textes variés » (Ministère de l’Éducation, 2006). Les besoins des élèves soulevés étaient le manque d’autonomie et d’efficacité par rapport à l’élaboration et la généralisation des idées en écriture. J’ai donc enseigné quatre stratégies en classe afin de permettre aux jeunes d’améliorer la suffisance des idées dans leurs textes et l’efficacité des techniques de rédaction utilisées.
Mise en contexte/problématisation
J’ai réalisé mon quatrième stage dans une classe de premier cycle à l’école Freinet de Québec, pavillon des Loutres. Mon PIC abordait l’importance des conventions d’écritures pour bien se faire comprendre. En effet, les difficultés éprouvées par la majorité des élèves étaient de bien structurer leur texte, de différencier le langage oral du langage écrit, de placer des espaces entre les mots ainsi que de bien ponctuer les phrases.
Mon PIC s’est déroulé dans une classe de deuxième année du primaire. Il avait pour but de répondre au défi suivant : les transitions entre les activités. En effet, les transitions étaient souvent trop longues et bruyantes, ce qui perturbait le bon déroulement des différentes activités. Mon objectif était donc de rendre ces transitions plus efficaces et d’installer des routines claires et fonctionnelles pour améliorer le climat de classe.
Pour atteindre cet objectif, j’ai mis en place différentes étapes d’intervention structurées.
Avec ce projet, j'ai voulu mesurer le développement et l'amélioration de la mémoire de travail des enfants au préscolaire à l'aide de l'apprentissage de chansons.
Description de mon projet d'intervention en contexte (PIC)
Contexte et objectif