J’ai réalisé mon dernier stage dans une classe de maternelle 5 ans à Saint-Georges de Beauce. Dès le début de l’année, j’ai pu constater que plusieurs élèves se fatiguaient rapidement lors des routines de motricité globale ainsi que pendant les tâches qui consistaient à colorier, tracer ou découper. Les jeux de motricité fine étaient ardus pour ces élèves, qui soupiraient et demandaient d’arrêter quand on jouait avec des pinces, des balles antistress et de la pâte à modeler.
Mon quatrième stage s’est déroulé dans une classe de maternelle 4 ans comportant huit élèves, soit sept filles et un garçon. Alors que mes élèves présentaient de fortes compétences sur les plans moteur, langagier et cognitif, ils éprouvaient davantage de difficulté au niveau de l’identification (et la régulation) des émotions et des habiletés sociales. En effet, l’autorégulation du comportement représentait un obstacle important pour certains d’entre eux, ce qui nuisait à l’intégration des règles de vie.
Mon stage 4 se déroulait dans une petite école de Valcartier, dans une classe de 14 élèves de maternelle (5 ans) dont 10 garçons et 4 filles. J'ai rapidement remarqué que le recours à l’adulte était la solution privilégiée des enfants dans plusieurs sphères de la vie en classe.
Mon stage se déroulait dans un milieu défavorisé et dès le début, j’ai remarqué que beaucoup d’enfants n’avaient pas été stimulés à la maison. Plusieurs observations m’ont amené à cette conclusion. Tout d’abord, certains élèves de la classe n’avaient jamais vraiment pris un crayon pour écrire et ne le tenaient pas de la bonne façon. De plus, des élèves n’avaient jamais tenu de ciseaux dans leur main. Une autre de mes observations a été lorsque je parlais avec les élèves. J’ai remarqué qu’ils avaient un niveau de langage très familier.
Le but de mon projet d'intégration en contexte était de faire bouger les élèves selon leurs besoins. Je voulais donc, prendre le temps de faire bouger les élèves chaque jour afin de favoriser leur niveau de concentration et leur niveau d'attention.
J’ai fait mon stage 4 dans une classe au préscolaire 5 ans et j’ai observé que mon groupe était peu autonome et que l’enseignante associée et moi devions réaliser beaucoup plus de tâches. En effet, plusieurs gestes du quotidien étaient faits par nous et ceci amenait des contraintes concernant les observations que l’on voulait faire dans la classe. Toutefois, ces gestes du quotidien pouvaient être faits par les élèves.
J’ai réalisé mon stage final dans une classe de maternelle 5 ans et, comme beaucoup de choses depuis le début de la pandémie, tout ne s’est pas passé comme prévu! Normalement, les futurs élèves de maternelle viennent passer une demi-journée d’accueil pour être observés et divisés dans les différentes classes, mais cela n’a malheureusement pas été possible pour cette cohorte : les élèves ont été mis dans chaque classe à partir d’observations venant des parents et des garderies, ce qui a fait en sorte que les classes sont très déséquilibrées!
Mon stage dans une école située dans un milieu défavorisé et multiculturel. En début de stage, j’ai remarqué que les élèves avaient de la difficulté à gérer leurs émotions. En effet, j’ai vu des élèves pleurer, crier, bouder, trembler, figer, frapper, etc. Ma classe est composée de 19 élèves âgés de 5 à 6 ans. C’est dans ce contexte que s’inscrit mon projet d’intervention en contexte. J’ai décidé de le réaliser sur la gestion des émotions au préscolaire. Pourquoi ? Pour le bien-être des élèves et pour favoriser un climat de classe propice aux apprentissages.
La gestion des émotions
Description du projet et des observations du contexte