Dans le cadre de mon stage IV, j'ai eu la chance de côtoyer un fabuleux groupe de 17 élèves de 5e année.
Pour ce qui est de mon contexte, j'avais un groupe de 4 et 5 ans. Ce projet découle de mes observations concernant le fait que mes élèves n’avaient pas d’ateliers faits pour eux spécifiquement. Il y avait plusieurs jeux ou matériels disponibles, mais rien qui était selon leurs intérêts et leurs besoins. Je voyais divers petits défis chez mes élèves, mais parfois les occasions de répondre à chacun de ces petits défis étaient plus restreintes.
Mon PIC consistait à proposer un projet de cuisine en trois séances afin d'aider à développer les fonctions exécutives des élèves.
Après plusieurs observations, je constate que l'écriture demeure difficile, et ce, surtout lors des petits moments d'écriture. Ils n'ont pas d'idées pour écrire leurs histoires. Les stratégies (qui? où? quand?) utilisées ne semblent pas être comprises. Pour ce faire, j'instaurerai un moment d'écriture libre durant la routine. Une image sera affichée au TBI et je demanderai aux élèves de me décrire ce qu'ils voient sur l'image. Je commencerai à travailler une notion à la fois. Par exemple, durant 2 semaines, je travaillerai le « où?
Lors de mon Stage IV, j'ai incorporé le matériel ouvert et polyvalent dans ma classe de maternelle 4 ans dans le but de favoriser la substitution. Ceci s'est déroulé dans le cadre de mon projet d'intervention en contexte qui avait pour objectif d'aider les enfants de ma classe à passer d'un jeu symbolique immature à un jeu de plus en plus mature.
J'ai réalisé mon quatrième stage dans une classe de 3e année. J'ai rapidement remarqué que la grande majorité des élèves avait de la difficulté à écouter. En effet, ils n'écoutaient pas les consignes et ne s'écoutaient pas entre eux non plus, donc ne collaboraient pas. La dynamique de classe pouvait être lourde à quelques moments. J’ai donc choisi d’axer mon projet sur l’écoute et la collaboration.
Contexte:J'ai effectué mon stage IV auprès d'élèves du préscolaire 5 ans. Le projet visait le développement de l’autonomie fonctionnelle des élèves par la mise en place de plusieurs stratégies éducatives . L'objectif principal était de permettre aux élèves de développer leur autonomie en classe en leur donnant les moyens pour y arriver.Je voulais que mes élèves se sentent capables de réussir ce qu'ils entreprenaient.
Mon stage s'est déroulé en quatrième année à l’école de l’Arc-en-ciel à Loretteville. Dans la classe, il y a vingt-cinq élèves. Nous avons reçu quatre nouveaux élèves issus de l’immigration dans les dernières semaines. Certains sont allophones, d’autres sont en apprentissage du français. Les élèves de la classe sont très compréhensifs et tentent de les intégrer à la vie de classe et aux activités. Depuis le début de l’année, j’observe que les élèves aiment beaucoup les animaux, les arts plastiques, la lecture et l’écriture.
J’ai réalisé mon quatrième stage dans une classe de niveau préscolaire. Il s’agit d’un groupe multiculturel avec un élève dont le français n’est pas la langue maternelle. Dès les premières semaines, j’ai observé que les élèves avaient de la difficulté à exprimer ce qu’ils souhaitaient partager lors de la causerie ou lors des jeux libres, car ils n’avaient pas une grande diversité au niveau du vocabulaire. De plus, ils avaient de la difficulté à demeurer dans un sujet précis lors de leurs interventions.
Dans le cadre de mon stage 4, j’ai pu enseigner à 19 élèves de 4e année. Dès le début de mon stage, j’ai remarqué que mes élèves avaient de la difficulté à rester assis lors des apprentissages. J’ai également observé que mes élèves étaient tous très bavards et qu’il était difficile d’avoir un climat de classe favorable aux apprentissages. En effet, ces différents comportements rendaient la gestion de classe plutôt difficile. Ensuite, lorsque la tâche à faire paraissait longue, l’attention des élèves diminuait grandement et leur capacité d’attention était limitée.